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Sous titre

Développée en partenariat avec l’ADEME, OptiSéchage est une solution d’enregistrement et d’analyse de l’efficacité énergétique du séchage du grain. Son objectif ? Améliorer la performance du séchage afin de permettre une réduction de la consommation de gaz et d’émissions associées, ainsi qu’une utilisation optimale des séchoirs.Le caractére innovant de cet outil est qu’il permet aux Organismes Stockeurs (OS) de disposer d’une solution simple permettant d’aider à la fois les opérateurs à optimiser les réglages des séchoirs au quotidien mais également les services centraux en leur fournissant des indicateurs sur l’ensemble des séchoirs.Avec OptiSéchage, LCA // Solutions + propose une solution adaptée pour permettre aux OS de disposer en temps réel d’indicateurs sur l’état du séchage de l’ensemble de leurs sites. L’intérêt ? La mise en place au bon moment des actions adaptées pour optimiser la performance du séchage aussi bien au niveau d’un séchoir (modifier les réglages pour accroître sa performance énergétique), qu’au niveau du parc global de séchoirs (décider quand allumer ou éteindre un séchoir pour favoriser la performance globale du parc en cours de fonctionnement).Un outil pensé par et pour les coopérativesSur le modéle d’OptiVentil (l’outil d’analyse du fonctionnement de la ventilation qui permet d’assurer une meilleure conservation du grain tout en réalisant des économies d’énergie, ndlr), les équipes de LCA // Solutions + privilégient, pour le développement d’OptiSéchage, une démarche de co-construction impliquant les coopératives.A ce titre, un comité de pilotage sera constitué avant l’été regroupant des coopératives utilisatrices, des experts LCA // Solutions + ainsi que des interlocuteurs spécialisés dans le développement de solutions logicielles. Son rôle ? S’assurer, chaque mois, de l’intégration, étape aprés étape, de l’ensemble des paramétres incontournables au déploiement optimal de cette nouvelle solution.Et concrétement, comment ça marche&nbsp;?OptiSéchage centralise les données sur le séchage et permet d’assurer le suivi de la performance énergétique du parc de séchoirs.Pour ce faire, cette solution innovante propose une interface de saisie permettant aux pilotes de séchoirs d’indiquer les principaux paramétres du séchage (caractéristiques du grain avant et aprés séchage, réglages du séchoir, nombre d’heures de fonctionnement, consommation de gaz...). Une fois ces données exploitées et analysées, la solution délivre les indicateurs et les recommandations précises concernant le pilotage du séchoir, son efficacité et les potentielles dérives identifiées.Par conséquent, OptiSéchage se substitue parfaitement au cahier de séchage manuscrit. Mais la solution va beaucoup plus loin ! Véritable tableau de bord, elle propose aux OS une vision globale et précise de la performance énergétique en temps réel ainsi que des indicateurs connexes essentiels à un suivi adapté (temps de fonctionnement journalier, capacité de stockage en attente...).&nbsp;En exclusivité, les premiers écrans de OptiSéchage...Fiche d’identité du séchoir<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_6ae33b783d.png" alt="Sans-titre.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_6ae33b783d.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_6ae33b783d.png 500w," sizes="100vw">Synthése<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_1_7754ae60d4.png" alt="Sans-titre-1.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_1_7754ae60d4.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_1_7754ae60d4.png 500w," sizes="100vw">Ecran de saisie<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_2_7eaadd7154.png" alt="Sans-titre-2.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_2_7eaadd7154.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_2_7eaadd7154.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_2_7eaadd7154.png 750w," sizes="100vw">Pour plus d’informations sur notre outil OptiSéchage , contactez : <a href="mailto:sbeau@solutionsplus.coop">sbeau@solutionsplus.coop</a> ou&nbsp; <a href="mailto:dsalardaine@solutionsplus.coop">dsalardaine@solutionsplus.coop</a>

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Détail de l'article avec beaucoup de fond

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Et si nous revenions sur ton parcours ? J’espère que vous avez un petit moment devant vous (rires). Cela fait tout de même près de 30 ans que je travaille dans le domaine de la coopération agricole. Originaire des Landes - ce qui explique l’accent évidemment - je suis fils d'agriculteur. Je commence tout d’abord par obtenir un BEP Agricole. Après six mois passés sur l'exploitation familiale, je travaille pendant près d'un an et demi dans une laiterie. Par la suite, j’entreprends une formation pour obtenir un BTS Techniques Agricoles et Gestion. Petit détour par la case service militaire, je deviens ensuite successivement ouvrier agricole, technicien d’élevage et je réalise dans la foulée une saison aux Maïs Doux Géant Vert. En 1990, je rejoins la coopérative de Pau (aujourd'hui Euralis, ndlr) dans un silo près de Dax. Un parcours riche puisque j’y occupe les fonctions de conducteur d'installation, de chef d'équipe puis de chef de silo. Nouvelle étape en 2002 ! J’intègre le Groupe Euralis en tant que Responsable QHSE, un vrai défi puisque la fonction y fait tout juste son apparition à l'époque. Après 3 ans et demi, nouveau challenge : je deviens Responsable Exploitation avec délégation sécurité entreprise pour Maisica Bayonne, poste que j’ai le plaisir d’occuper de 2005 à 2014. Puis retour à mes anciennes amours : j’occupe la fonction de Chef de Silo à la SICA Atlantique à la Rochelle jusqu’en 2018, date à laquelle je deviens Responsable du site d'engrais SEVESO à la SICA de Gouaix.&nbsp; Et tout ceci nous amène au 4 avril 2022 - la précision c’est important (rires) - date à laquelle je rejoins officiellement les équipes de LCA // Solutions +. Une évolution somme toute très naturelle selon moi : tout au long de ma carrière, j’ai eu la chance de participer à de nombreux parcours de formation déployés par Services Coop de France (LCA // Solutions + aujourd’hui, ndlr) puis LCA // Solutions +. J'ai toujours été en contact avec cette structure et j’ai toujours apprécié les échanges que nous pouvions avoir. Il n’est donc pas étonnant que nos chemins se soient enfin croisés de manière plus directe. Et une chose est certaine : je suis ravi de les avoir rejoints.C’est quoi ta fonction exacte chez LCA // Solutions + ? Je suis consultant formateur en performance industrielle, en risques industriels et sur les métiers du grain. La formation occupe une place centrale dans ces missions. Ce que j’apprécie en particulier ? Les contacts, les échanges et la transmission des connaissances qui peuvent parfois se perdre dans notre métier. Le secteur agricole connaît en effet un fort renouvellement. Pour moi, il est essentiel de le faire connaître, de le faire aimer et de transmettre les valeurs qui lui sont propres. Aujourd’hui, je propose près de sept modules différents – et d’autres sont en cours de développement - ce qui me permet d’avoir un panel très large. C’est enrichissant, c’est varié et finalement aucune journée ne se ressemble vraiment. Passer d'un module à l'autre, d'une coopérative à l'autre, d'une problématique à l'autre en l'espace de quatre jours dans une même semaine est à la fois terriblement stimulant et très plaisant pour moi.&nbsp; A ce jour, j’ai déjà près de 110 jours de formation à mon actif sur un seul exercice. Une belle performance, n'est-ce pas ? Et pour être honnête, je pense que cette tendance va se poursuivre : la demande est là – formations courtes, parcours CQP - et s’accélère. &nbsp;Quels sont les principaux défis de ta fonction ? Mon défi numéro 1 : transmettre un maximum de savoir-faire de manière pragmatique, proche du terrain, en incluant de nombreux cas pratiques, visites sur site et partages d’expériences métiers. Et en effet, c’est très apprécié ! Tout d’abord, cela permet aux différents collaborateurs de découvrir les autres sites mais plus que tout, cela a un puissant effet fédérateur autour d'un projet commun qui part des opérateurs jusqu’aux managers d’exploitation. Mais j’ai un aussi un défi numéro 2 : celui de réussir dans un statut hybride, mi-formateur, mi-consultant. Un statut qui m’offre beaucoup d’autonomie, de variété et qui m'oblige à obtenir des résultats concrets. C'est très motivant ! &nbsp;Qu’apprécies-tu particulièrement dans le fait de travailler chez LCA // Solutions + ? Difficile de réduire ça à un ou deux éléments spécifiques. Travailler chez LCA // Solutions + est une expérience formidable. C'est un groupe à taille humaine, composé de profils variés. L'équipe est très animée et l'entraide est omniprésente. La structure est agile, ce qui permet une grande réactivité. Je dois avouer que je me retrouve parfaitement dans les valeurs que nous partageons ensemble - l'échange, la passion des métiers et le partage. Nous sommes tous réunis autour d'un défi collectif qui nous anime au quotidien : faire progresser nos métiers pour faire avancer tout le monde.

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A quel enjeu répond ce nouveau parcours ?Emmanuel Paris&nbsp;- Le monde agricole est aujourd’hui confronté à de nombreux défis : changement climatique, protection de la biodiversité, accélération des innovations, évolution de la typologie des agriculteurs…. Pour demeurer pertinent et efficient, l’accompagnement des agriculteurs doit impérativement prendre en compte ces différentes évolutions. Et cela implique, pour les techniciens des coopératives, de développer de nouvelles compétences. C’est exactement ce que propose le nouveau parcours CQP TCA développé par LCA // Solutions +.&nbsp;En quoi le CQP TCA devient-il un nouveau parcours incontournable pour les coopératives agricoles ?Emmanuel Paris&nbsp;- En tant qu’acteur majeur du conseil aux agriculteurs, les coopératives agricoles ont un rôle essentiel à jouer dans l’évolution des systèmes agricoles. Les techniciens conseil et leur action au quotidien occupent une place centrale au sein de cette dynamique. Assurer l’adaptation permanente de leurs compétences aux nouveaux défis constitue donc un enjeu essentiel. Le CQP TCA a justement été conçu pour répondre à cet enjeu. En outre, ce nouvel outil de formation, qui s’appuie sur l’expertise croisée de LCA / / Solutions + et des fédérations régionales des coopératives agricoles qui se sont associés pour le déployer, permet aux coopératives de bénéficier d’une interface régionale et d’une coordination nationale.&nbsp;Les 3 points forts de ce parcours ?Emmanuel Paris&nbsp;- Tout d’abord, le CQP TCA constitue un parcours complet de formation. Tous les domaines de compétences que doit maîtriser un technicien conseil sont abordés&nbsp;: gestion de projet, posture d’entretien, diagnostic économique et technique, agronomie, conduite de réunion, communication digitale, prospection et vente…Ensuite, en plus des compétences classiques rattachées au métier de technicien conseil, le parcours propose d’aborder de nouveaux domaines liés notamment au développement de collectif d’exploitants agricoles et d’experts techniques en s’appuyant sur les outils digitaux. Il s’agit ici de faciliter l’appropriation de ces nouveaux outils de communication pour renforcer la qualité de l’accompagnement des agriculteurs.Et enfin, le parcours intègre un dispositif d’évaluation des compétences conduisant, à terme, à la délivrance d’une certification de niveau Bac +3. Il s’agit là d’une démarche gagnant-gagnant pour la coopérative d’une part, qui voit les compétences de ses salariés renforcées, et pour les techniciens conseil d’autre part, dont les compétences sont officiellement reconnues.&nbsp;En quoi ce parcours vient-il s'inscrire dans la démarche globale de LCA // Solutions&nbsp;+ ?Emmanuel Paris&nbsp;- Notre ambition&nbsp;? Etre au service du développement de la performance des coopératives agricoles. A ce titre, LCA // Solutions&nbsp;+ entend contribuer à l’engagement de la neutralité carbone du secteur agricole de La Coopération Agricole à l’horizon 2035. Le déploiement du parcours CQP TCA s’inscrit pleinement dans cette stratégie en proposant de renforcer les compétences des techniciens dans l’accompagnement de la transition des systèmes agricoles.

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Et si nous revenions sur votre parcours ?A 19 ans, je deviens agriculteur au sein d’un GAEC en Vendée. L’exploitation, gérée par 3 associés, se concentre principalement sur la production laitière mais aussi sur les céréales, les légumineuses et le chanvre pour l’isolation.Assez rapidement, j’ai pris conscience d’un enjeu essentiel : celui de participer activement, à mon niveau, au microcosme économique qui influe sur l’avenir d’une exploitation.Et c’est fort de cette conviction que j’ai décidé de m’engager dans le monde coopératif. Une révélation doublée d’une véritable aventure humaine.A 29 ans, je deviens donc administrateur au sein de la CAVAC. En parallèle, j’ai la chance de réaliser la formation “Administrateur Décideur” (formation dispensée par LCA Nouvelle Aquitaine, ndlr). Un parcours qui m’a permis de réaliser l’importance et la place essentielle de la formation pour appréhender et intégrer au mieux les spécificités de ces nouvelles fonctions.Mon engagement coopératif s’est ensuite naturellement renforcé, année après année : membre du bureau, puis Vice-Président et enfin Président de la CAVAC, responsabilité que j’ai le plaisir d’assumer depuis 2000.Et cela ne s’arrête pas là. En effet, la CAVAC étant adhérente de l’union de coopératives InVivo, j’ai souhaité m’y engager progressivement : administrateur dès 2009, puis membre du bureau, Vice-Président, Président Délégué en 2011 pour devenir, depuis le 18 janvier 2022, Président.&nbsp;Et l’histoire avec LCA // Solutions + ?Elle débute en 2011. A l’époque, nous venions de lancer plusieurs chantiers au sein d’InVivo, dont un dédié à la formation. L’enjeu ? Remettre à plat le service formation pour en optimiser le fonctionnement. Nous avons réalisé cette démarche en étroite collaboration avec Services Coop de France (devenu LCA // Solutions +, ndlr).Ce qui m’a alors le plus marqué dans l’accompagnement proposé, c’est cette parfaite compréhension des besoins des coopératives. Une compréhension reposant sur une méthodologie très pertinente.Car chez LCA // Solutions +, ils abordent chaque problématique de la même façon : comment pouvons-nous être utiles aux coopératives ? Dit comme ça, ça paraît tout simple mais c’est pourtant de cette manière qu’il est possible de faire le bon diagnostic.Et une fois ce diagnostic posé, c’est aussi leur façon d’y répondre qui est déterminante : une construction collective. C’est très fédérateur et cela assure une adhésion immédiate aux solutions et au plan d’actions déployés.Ce fonctionnement, j’ai également pu l’observer dans leur activité de performance industrielle. Ils ont une réelle capacité à créer, fédérer et animer des groupes de coopératives intéressées par des solutions collectives. C’est très puissant ! Cela permet de construire des offres beaucoup plus complètes, plus larges et très efficaces car en parfaite adéquation avec les besoins.La création de ce cercle vertueux perpétuel est une force qu’il convient de maintenir. Le monde de la coopération agricole est en constante évolution. Par conséquent, les réponses d’aujourd’hui ne seront pas celles de demain. LCA // Solutions +, en restant dans cette dynamique d’écoute, a tous les atouts pour demeurer un acteur incontournable.&nbsp;Et la suite ?C’est un partenariat qui s’inscrit clairement dans la durée. Tout d’abord parce qu’au périmètre de la CAVAC, la formation reste une problématique centrale et permanente. Par ailleurs, nous avons identifié de gros enjeux sur la logistique et le gain énergétique. Pour faire simple, tout ce qui permet d’améliorer la productivité, la qualité du stockage, l’entretien des bâtiments ou encore leur efficacité est au cœur de nos préoccupations. Et naturellement, nous attendons de LCA // Solutions + qu’il reste un acteur engagé à nos côtés pour construire les solutions à apporter à ces sujets.&nbsp;Vos 3 mots pour définir ce partenariat ?C’est un peu court quand même (rires). Mais s’il faut s’en tenir à 3 mots, je dirais écoute, union et innovation. Et si vous m’aviez donné une phrase, je vous aurais sans aucun doute parlé de l’action de LCA // Solutions + en ces termes : la capacité à s’enrichir de nos différences pour trouver ensemble la meilleure solution.&nbsp;Vous êtes également administrateur de LCA // Solutions +. Pourquoi avoir accepté cette fonction ?En tout premier lieu, l’envie de voir les choses de l’intérieur. En tant qu’utilisateur de leurs formations, j’étais curieux d’observer la construction, le suivi.Mais au-delà de cet aspect et de mon entente avec Florent Varin (Directeur de LCA // Solutions +, ndlr), j’ai vite réalisé que faire partie de ce groupe était particulièrement enrichissant. Cela permet de se nourrir et de nourrir les autres. De construire et de se construire. C’est donc dans la droite lignée de mon engagement au service du collectif.&nbsp;Quelles sont vos aspirations par rapport à ce rôle ? Et selon vous, à quels défis devrez-vous répondre dans les prochaines années ?Mes aspirations ? Tout d’abord, faire en sorte que cette dynamique perdure, voire s’améliore. Mais aussi continuer à faire ce travail de prospective, de compréhension pour s’assurer d’être dans le bon tempo et de toujours avoir un temps d’avance. Et enfin construire la vision de l’avenir et deviner les solutions de demain en étroite collaboration avec les coopératives.Car les défis auxquels nous allons être confrontés sont nombreux : la recherche toujours plus exigeante d’outils de productivité dans les coopératives, le recrutement des bons profils, l’accompagnement de la montée en compétences pour répondre à l’évolution des métiers…Autant de challenges auxquels LCA // Solutions + devra répondre pour assurer la performance des coopératives au service de leurs adhérents.

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Une chose est sûre : Loïck Tillaud est un homme de challenges. Coordinateur Industriel et HSE chez Terre Atlantique depuis octobre 2022, il aborde cette nouvelle fonction avec beaucoup d’enthousiasme et d’envie. Prise de hauteur, gestion de projet et pilotage précis au quotidien sont autant de défis qu’il souhaite relever au sein de ses principales missions. Et parmi celles-ci, il en est une qui devient tout particulièrement prioritaire : l’optimisation de la consommation électrique des sites de la coopérative.Enjeu prioritaire recherche solution concrèteSi la problématique est clairement identifiée au sein de Terre Atlantique, la réponse à y apporter semble plus complexe. “Cela faisait déjà plusieurs mois que nous étions challengés en interne sur la question des consommations électriques de nos sites”, explique Loïck Tillaud. “Nous avons engagé la démarche en récupérant les informations nécessaires auprès de notre fournisseur mais nous avons rapidement été confrontés à deux défis majeurs. La quantité très importante de données à exploiter d’une part et la façon la plus adaptée de les exploiter ensuite.” Un constat rendant difficile la concrétisation de cette initiative pourtant prioritaire.OptiElec : une réponse adaptée et facilement déployable“Nous menons depuis 2 ans une étude sur le coût du séchage. A ce titre, nous avons souhaité rencontrer LCA // Solutions + pour en savoir plus sur leur outil dédié OptiSéchage. Et c’est à cette occasion que nous avons pour la première fois entendu parler d’OptiElec” précise Loïck Tillaud.Un outil concret capable de requêter les points minute des fournisseurs d’électricité et de les maquetter de façon rapide, accessible et simplifiée. “Ça a fait tilt. OptiElec semblait correspondre à nos enjeux. Mais surtout il répondait aux limites que nous avions rencontrées en interne. On n’a pas hésité longtemps avant de basculer 25 de nos 43 sites sur cette solution”.Une bascule qui a pu être réalisée rapidement entre novembre et début décembre 2022, OptiElec ne nécessitant qu’une courte phase d’implémentation et de formation.“Nous avons tout d’abord identifié et listé nos sites les plus consommateurs. Ce sont eux que nous avons équipés en priorité. Et ensuite, nous avons simplement fourni les références des points de livraison d’électricité” précise Loïck Tillaud.Des perspectives engageantesEt les premières retombées sont quasi immédiates ! Quelques semaines seulement après son déploiement, OptiElec a déjà permis à la coopérative de réaliser des économies concrètes. “Grâce à l’outil, nous avons observé le talon de consommation au début des vacances de Noël. Nous avons ainsi réalisé une tournée de correction sur l’ensemble des sites équipés : coupure de compresseurs, diminution du chauffage… Des démarches simples à mettre en oeuvre qui nous ont fait économiser pas moins 10 000 €”. Une vision d’ensemble qui permet de cibler les actions prioritaires et de préciser leur impact.Et pour la coopérative Terre Atlantique, ce n’est qu’un début. “Nous avons rapidement formé nos magasiniers à l’outil. C’était prioritaire pour nous. Et depuis, nous observons une prise en main collective et des talons qui baissent de façon importante” souligne Loïck Tillaud. Une dynamique positive qui laisse aussi la place pour un travail approfondi sur le moyen-long terme. “Nous travaillons actuellement sur un plan d’actions pour nos sites les plus consommateurs et les moins optimisés. Parmi les initiatives prioritaires&nbsp;: modernisation du matériel, optimisation des ventilations ou encore modification de notre plan de stockage après collecte… OptiElec nous pousse à creuser certaines problématiques qu’on n’avait pas l’occasion de creuser auparavant. C’est très stimulant”

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Vous venez récemment de réaliser un audit énergétique sur votre station de semences. Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur la genèse de cette initiative ?Les audits énergétiques – notamment dans le cadre de démarches réglementaires – sont une démarche bien connue et régulièrement déployée au sein de notre coopérative.Mais le contexte actuel d’explosion des coûts énergétiques (gaz et électricité) nous a incité à aller encore plus loin.Tout est donc parti d’une démarche d’identification de nos sites les plus consommateurs. A ce titre, nous avons étudié l’ensemble de nos consommations au niveau de la coopérative. Un constat assez édifiant : une quinzaine de nos sites représentent aujourd’hui près de 90% de nos consommations gaz et électricité. Et la station de semences en fait partie.&nbsp;Une fois ce constat réalisé, pourquoi avoir fait appel à LCA // Solutions + ?Il nous semblait essentiel de nous faire accompagner par des professionnels du métier. Nous nous sommes donc naturellement tournés vers LCA // Solutions +. Leur maîtrise du milieu, des process et des problématiques en font des experts à la hauteur de ce type d’enjeux.Par ailleurs, leur expérience de l’audit hors stations de semences (audits énergétiques réglementaires, audits de performance énergétique, audits de performance ventilation, ndlr) leur permet d’user de méthodes et de points de comparaison très pertinents. En d’autres termes : ils savent immédiatement où aller chercher et où aller creuser.&nbsp;Et concrètement, comment se déroule un audit de performance énergétique sur une station de semences ?Cela consiste en 3 étapes principales : une phase amont d’analyse, puis un audit sur site et enfin une phase de compilation et de synthèse. Un processus simple, une mise en oeuvre rapide. Pour notre audit, l’ensemble de la démarche n’a pris que 3 mois.En phase amont, l’enjeu principal est de fournir le plus de données d’entrée possible. On a donc un vrai travail de synthèse à réaliser sur les informations que nous détenons : tonnage, séchage, factures, consommations, relevés de compteur, diagrammes de séchage… Grâce à ces données, les équipes de LCA // Solutions + sont en mesure de comprendre 75% à 80% de notre fonctionnement.Vient ensuite la phase terrain pour creuser certaines spécificités ou fonctionnements particuliers qui n’apparaissent pas dans les données. Par ailleurs, c’est le moment de confirmer des aspects anormaux (talons de consommations…) déjà identifiés par les données.Enfin, la période de compilation qui suit permet d’élaborer une synthèse mais surtout un plan d’actions concret mettant notamment en perspective investissements potentiels et retours sur investissements associés.Ce qui est particulièrement intéressant dans l’approche de LCA // Solutions +, c’est que leurs recommandations sont construites sur un triptyque complémentaire : organisationnel, technique, comportemental. C’est en travaillant sur ces 3 aspects que la recommandation est pertinente.&nbsp;Quels sont les résultats de cet audit pour la CAVAC ?Je dois dire que les pistes sont très intéressantes. Et par pistes, j’entends surtout une accumulation de petites actions qui vont nous permettre d’avancer concrètement. Au global, elles pourraient nous faire économiser jusqu’à 13% de notre facture. C’est très fort !Si nous avions d’ores et déjà pressenti certaines d’entre elles, l’audit a eu le mérite de les prouver. C’est toute la force de la démarche : c’est argumenté, chiffré. Une aide indéniable pour débloquer les investissements en interne.Un autre aspect que je retiens : l’audit met en lumière nos limites et nos axes d’amélioration. Cela nous force à nous discipliner – en agissant sur le comportemental notamment – et à prioriser nos actions pour aller encore plus loin. Ça ouvre les perspectives, c’est très stimulant.Et pour être honnête, ce type de recommandations est d’autant plus percutant lorsqu’il provient de l’extérieur.&nbsp;Et quels sont vos retours sur l’accompagnement LCA // Solutions + ?Ce qui est appréciable, c’est le sentiment d’être accompagné par des gens qui viennent du métier : ils ont les compétences, les codes, parlent le même langage et mettent immédiatement en confiance les gens de terrain.Le duo formé par David Salardaine (expert énergétique, ndlr) et Stéphan Beau (chef de projet performance industrielle et ancien responsable industriel d’une station de semences pendant près de 10 ans, ndlr) est très efficace.Plus qu’un accompagnement, c’est un véritable partenariat. D’ailleurs, nous comptons leur faire des retours sur les actions que nous allons engager. Cela leur permettra d’affiner leur base de données pour de futurs audits chez d’autres clients. Une bonne manière de nourrir le collectif en somme !

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Et si nous revenions tout d’abord sur votre parcours&nbsp;?Pour bien comprendre mon parcours, il convient de souligner les deux piliers qui l’ont toujours encadré. D’un côté, le besoin essentiel de pouvoir m’identifier aux enjeux de l’entreprise auquel j’appartiens. Ça a toujours été déterminant dans mes choix. Et de l’autre, l’équilibre vie professionnelle – vie familiale. Maman de deux adolescentes, la vie de famille a toujours été pour moi une priorité. En outre, je l’ai toujours considérée comme une ressource et une force incroyable pour m’épanouir et m’investir pleinement dans mon travail.Issue d’une formation commerciale généraliste – je suis diplômée de l’EM Normandie – je débute ma carriére dans le monde des médias. Pendant plusieurs années, je rejoins consécutivement plusieurs grands groupes de ce secteur à des fonctions financiéres.Et puis un jour se présente l’opportunité de rejoindre la SCARA à la fonction de Directeur Administratif et Financier. Une opportunité qui constitue une véritable bascule dans mon parcours. Mais surtout, une opportunité qui sonne alors comme une évidence&nbsp;: je me reconnais dans les enjeux et les problématiques du milieu agricole et je sens que j’ai un rôle à y jouer.Je rejoins donc l’aventure coopérative, aventure que je n’ai plus quittée depuis plus de 13 ans maintenant.&nbsp;Et au sein de cette aventure, le parcours Aristée.En effet&nbsp;! Ma formation initiale m’a permis de développer un profil trés généraliste. Mais en tant que DAF de la Scara, j’ai rapidement ressenti le besoin de me confronter à la négociation, au commerce, au marketing digital et de pouvoir évoluer dans ces compétences bien précises.Le parcours Aristée, que j’ai rejoint en novembre 2019, répondait parfaitement à ces attentes. Mais pas uniquement. J’ai aussi pu profiter de moments d’échanges particuliérement enrichissants. En effet, outre les compétences que je recherchais, la promotion à laquelle j’appartenais était incroyable et m’a énormément portée. Ça a constitué pour moi une réelle ouverture sur d’autres univers et d’autres métiers. Et enfin le réseau ! Aristée est un formidable accélérateur de relations au sein du monde coopératif. Les liens qui sont tissés au cours du parcours sont nombreux, solides et tiennent dans la durée – indestructibles en somme (rires). Une formation trés précieuse à tout point de vue&nbsp;!&nbsp;Et qui marque un vrai tournant dans votre carriére&nbsp;?Un vrai tournant oui. Aristée, c’est le point de départ du projet entrepreneurial – Coop 4.0 – que je porte aujourd’hui et dans lequel je m’investis à 100%.Point de départ parce qu’il est directement issu du projet de groupe réalisé lors de la formation. Avec mes 4 partenaires (Renaud Noël, Jean-Noël Barrau, Christophe Bonnemort et Patrice Vacher, ndlr) nous n’avions pas d’idée préconçue mais un seul pré-requis, au regard, notamment, des enseignements du parcours : créer de la valeur pour le monde coopératif grâce digital. Nous avons exploré plusieurs pistes – des plus classiques aux plus ambitieuses – et nous sommes tous tombés d’accord sur le projet que nous avons nommé Coop 4.0. Un projet à forte valeur ajoutée pour la coopération agricole et les agriculteurs.Alors Coop 4.0, c’est quoi&nbsp;? Coop 4.0, c’est une plateforme unique de partage d’expériences en agriculture, agritourisme et agroalimentaire entre producteurs et consommateurs. C’est la vitrine permanente de l’agriculteur – ses valeurs, ses démarches, ses équipes, ses métiers, son agenda – qui met en lumiére son activité. Et cerise sur le gâteau. Coop 4.0, c’est aussi une plateforme d’échanges sur laquelle le consommateur citoyen reçoit des contenus thématiques sur la biodiversité, l’environnement, les recettes de chef...Si Aristée nous a permis de mettre en place les premiéres briques de l’édifice, les mois qui ont suivi ont été tout aussi déterminants pour préciser notre idée. Car une conviction nous a tous animés à la fin du parcours : hors de question d’abandonner le projet.&nbsp;Et où en êtes-vous aujourd’hui&nbsp;?Au départ, on a tous pensé pouvoir rester dans notre poste et gérer le projet en paralléle. On considérait que notre envie d’avancer, nos compétences complémentaires, notre formidable capacité à travailler ensemble et nos réseaux respectifs étaient suffisants. Mais on a rapidement réalisé que pour passer à la vitesse supérieure et surtout transformer l’idée en action concréte, il fallait plus.J’ai décidé de foncer. Et j’ai eu beaucoup de chance car ce changement de vie professionnelle a été facilité par la Scara. Ils ont parfaitement compris le projet et ils m’ont accompagnée pour me permettre de me lancer dans les meilleures conditions. Aujourd’hui, au sein de Coop 4.0, on est 5 associés et j’occupe les fonctions de Directrice à plein temps. Je suis ravie – c’est trés différent de mon parcours&nbsp;!&nbsp;La suite, vous la voyez comment&nbsp;?La suite&nbsp;? Challengeante, stimulante et pleine de promesses&nbsp;! Je suis surtout trés confiante. Tout d’abord parce que je ne suis pas seule&nbsp;: je peux compter sur mes quatre associés qui sont trés impliqués dans la communication et dans la création de contacts avec les partenaires locaux. Ensuite parce que les choses avancent vite&nbsp;: nous terminons la phase de faisabilité, nous finalisons le financement et nous affinons l’offre et l’expérience en pitchant Coop 4.0 aux principaux concernés. L’accueil est trés positif&nbsp;! Et enfin parce que je suis convaincue que Coop 4.0 participe concrétement au rayonnement coopératif.&nbsp; Et ça, c’est une source de motivation sans limite&nbsp;!

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Et si nous revenions sur votre parcours ?Depuis tout petit, je suis animé par une certitude : vouloir marcher dans le sillage de mon grand-pére paternel et de mon pére en devenant agriculteur.Je me suis donc naturellement orienté vers un BTS Agricole. En 1996, je rejoins un GAEC des plateaux de Bourgogne. Mon exploitation se concentre surtout sur la culture (blé, orge, colza) mais j’ai aussi une quinzaine de vaches et une petite parcelle de vignes AOC Petit Chablis.En 2008, l’aventure se poursuit. Je m’associe avec un agent technico-commercial de la coopérative. S’en suivent quelques ré-adaptations (avec notamment l’arrêt de l’atelier bovins) et une consolidation des activités principales. Notre exploitation compte aujourd’hui 380 hectares de céréales et 6 hectares de vignes !Si je suis parfaitement honnête, je ne me suis jamais vraiment projeté sur un quelconque engagement au sein du monde coopératif. Mes ambitions ne se situaient pas là au début et j’avais suffisamment de travail à l’exploitation par ailleurs. Mais l’histoire, comme souvent, en a décidé autrement (rires).Tout d’abord Président de la CUMA locale pendant une dizaine d’années, je me suis tourné ensuite vers un engagement d’un point de vue régional. En 2014, je deviens administrateur de la Coopérative 110 Bourgogne et j’entre au bureau en 2018. En 2019, j’ai la chance de rejoindre la promotion Sénéque 15. Un parcours dense, complet et essentiel qui, pour moi, a su ouvrir les perspectives. J’en suis sorti grandi, enrichi, plus costaud en quelque sorte (rires) mais conforté dans mon engagement. Et la suite ? En décembre 2022, je deviens Président de la Coopérative 110 Bourgogne.&nbsp;Et l’histoire avec LCA // Solutions + ?L’histoire avec LCA // Solutions +, elle prend son envol au sein de la coopérative dés 2008 avec le déploiement de la solution OptiFlux. Et elle se poursuit depuis, année aprés année.Dernier exemple en date : nous venons de faire basculer 14 de nos 50 silos sur OptiElec, la solution dédiée à l’optimisation de la consommation électrique des coopératives.Les premiers retours sont impressionnants. Grâce à l’outil, on réalise qu’on a de trés grosses marges de progression en termes de pilotage et de réduction de consommation d’énergie.C’est ce qui fait selon moi la force de LCA // Solutions +. La parfaite compréhension des problématiques du monde des coopératives agricoles et la mise à disposition d’outils opérationnels y répondant directement.Aussi bien dans le domaine de la performance industrielle que dans celui de la formation, les solutions proposées sont adaptées aux différents besoins des coopératives et des différents profils y travaillant.La mutualisation facilitée par LCA // Solutions + permet ainsi de rendre abordables des dispositifs que nous ne serions pas forcément en capacité de déployer seuls.&nbsp;Et la suite ?Nous avons un maillage de silos assez dense. Un de nos enjeux majeurs : l’optimisation de leur performance sans avoir à les fermer. Nous avons besoin d’un accompagnement expert sur ce point. Par conséquent, nous étudions actuellement le possible déploiement du logiciel OptiSilo au sein de notre structure. Quelle application, quelle utilisation nous pourrions en faire mais surtout quelle perspective de gain associé ? A suivre...&nbsp;Vos 3 mots pour définir ce partenariat ?Performance, résilience et innovation&nbsp;Vous êtes récemment devenu administrateur de LCA // Solutions +. Pourquoi avoir accepté cette fonction ?Tout d’abord, je dirais que c’est l’aboutissement d’un engagement progressif. Mais pas uniquement. En effet, c’est aussi un moyen d’être au coeur du réacteur, de faire partie de la dynamique de LCA // Solutions + et d’être au fait de ce qui va être développé. En fait, c’est trés concret et extrêmement passionnant. On touche à plusieurs problématiques et on s’engage pour faire bouger les choses. On participe concrétement à faire évoluer l’édifice.Rejoindre le Conseil d’Administration de LCA // Solutions + c’est aussi pour moi un moyen efficace de faire rayonner et progresser ma coopérative, en nous ouvrant à de nouvelles solutions et en lançant le débat.&nbsp;Quelles sont vos aspirations par rapport à ce rôle ?Pour être trés franc, je suis tout récent dans la fonction. Je suis donc encore en mode découverte. Mais une chose est certaine : comme pour chacun des engagements que j’ai pu prendre par le passé, je souhaite pouvoir apporter une contribution active et être force de proposition dans des développements futurs.&nbsp;Selon vous, quels sont les défis auxquels LCA // Solutions + doit répondre dans les prochaines années ?Pour faire simple, tous les enjeux économiques et environnementaux auxquels les coopératives doivent ou devront faire face à l’avenir.Parmi eux, le défi énergétique me paraît évidemment central. Aujourd’hui, les initiatives dans ce sens sont nombreuses mais il est essentiel d’aller plus loin. Le challenge est triple : comment travailler le sujet de la façon la plus pertinente, comment l’intégrer à nos activités et enfin comment assurer une meilleure performance des coopératives sur le long terme.Et au sein de tous ces défis, je pense que LCA // Solutions + a un rôle crucial à jouer : maintenir le cap de la mutualisation pour proposer des solutions plus globales et construire un avenir pérenne ensemble !

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Imaginez qu’il soit possible d’identifier, sur l’ensemble des sites d’une coopérative agricole (ndlr : magasin / siége administratif / silo / usine...), ceux qui posent probléme en matiére de consommation électrique. Imaginez alors qu’il soit possible d’engager rapidement des actions correctives adaptées.Les économies potentielles seraient conséquentes et immédiates.A titre d’exemple<ul><li>10 sites identifient une dérive de 2kWh / jour.</li><li>L’économie globale réalisée grâce à cette identification serait de l’ordre de 43800€ HT (2kWh X 10 X 24h X 365j X25centimes (coût moyen du kWh)</li></ul>Une économie substantielle, quasi immédiate et qui ne constitue qu’une toute petite étape au sein d’une démarche bien plus globale d’analyse des consommations électriques.Une économie désormais possible grâce à l’outil OptiElec développé par LCA // Solutions +.&nbsp;3 maîtres-mots : mesurer, comprendre, optimiserMaintenir le niveau des talons de consommations électriques le plus bas possible sur le long terme : un enjeu prioritaire auquel doivent répondre les coopératives, dans un contexte d’optimisation des coûts énergétiques sous haute tension. “OptiElec a été conçu dans une optique bien précise : proposer aux coopératives agricoles une solution globale et efficace d’optimisation de la consommation électrique”, souligne Stéphan Beau, Chef de Projet performance industrielle chez LCA // Solutions +. « En effet, les 150 audits réglementaires effectués ces 3 derniéres années par LCA // Solutions + ont permis d’identifier une économie possible de la consommation électrique de l’ordre de 10% à 20% .Pour répondre à cet objectif, la solution se structure autour de 3 piliers incontournables&nbsp;:<ul><li>l’identification immédiate du&nbsp;niveau des talons de consommations électriques&nbsp;de chaque site,</li><li>l’accompagnement des responsables de site dans l’identification de&nbsp;l’origine de ces talons. L’enjeu ? Supprimer les consommations inutiles et cibler au mieux les actions. “Grâce à OptiElec, on fait de l’audit à distance : on échange ; on analyse et on explique les dérives ; mais surtout, on met en place la réponse adaptée ensemble immédiatement. Un gain de temps précieux !”, précise Stéphan Beau</li><li>enfin, le suivi du niveau de ces talons dans le temps&nbsp;pour garantir leur maintien au plus bas niveau.</li></ul>&nbsp;Simplifier pour engagerUne des forces principales d’OptiElec ? La mise à disposition d’indicateurs de performance simples et accessibles pour favoriser l’action.“Dans la construction de la solution, nous avons porté nos efforts sur des choses trés concrétes mais trés structurantes : récupérer la courbe de charge électrique, la traduire précisément à J+1 pour l’opérateur et lui fournir des indicateurs clairs et facilement interprétables” précise Stéphan Beau. Un vrai bond en avant en matiére de sensibilisation mais cela va bien plus loin : “On accélére le temps de réaction, on facilite l’analyse et on permet la correction. En outre, on démultiplie la force d’action de chaque site en responsabilisant et en impliquant les personnes qui sont au plus prés du terrain”.Mais avec OptiElec, l’implication se veut encore plus globale et collective : “Grâce à l’outil mais aussi aux indicateurs délivrés pour chacun des sites des coopératives équipées, on crée un benchmark précieux. On va pouvoir comparer, partager les bonnes pratiques et piloter au mieux au regard des performances des sites de même catégorie” ajoute Stéphan Beau.&nbsp;Action, réaction et réduction !Autre atout indéniable d’OptiElec : sa facilité et sa rapidité d’implémentation. “Basée sur l’utilisation de données électriques fournies par ENEDIS, cette solution logicielle (ndlr : solution en mode SaaS) ne nécessite aucun investissement matériel et est déployable trés rapidement. C’est bien simple : il faut compter moins d’une semaine pour installer l’outil et qu’il soit opérationnel” précise Stéphan Beau.Dés le déploiement achevé, il est possible d’identifier les sites qui posent probléme et d’engager les actions adaptées. A la clé : des économies immédiates. “Rien qu’en travaillant sur la réduction de la consommation résiduelle d’un site via l’analyse du talon de consommation, on peut tout de suite concrétiser des réductions importantes”.OptiElec, une innovation au service de l’humain, qui engage et responsabilise, pour toujours plus de performance !&nbsp;Vous souhaitez en savoir plus sur OptiElec&nbsp;? Contactez Florent Varin (<a href="mailto:fvarin@solutionsplus.coop">fvarin@solutionsplus.coop</a>)

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La ventilation du grain, un poste de consommation énergétique incontournableC’est l’enjeu prioritaire d’aprés moisson : refroidir le grain pour en assurer la bonne conservation. “Pour ce faire, il faut respecter 3 paliers de ventilation” souligne David Salardaine, consultant en efficacité énergétique chez LCA // Solutions +.<ul><li>Un premier palier qui s’achéve généralement à la fin de l’été et qui a pour objectif de stabiliser le grain à 20°C</li><li>Un deuxiéme palier qui débute idéalement à l’automne et qui vise à faire descendre la température du grain à 12°C cette fois-ci</li><li>Enfin, un dernier palier à l’hiver pour atteindre les 5°C</li></ul>“Plus vite un palier est atteint et plus vite on peut engager le suivant”, précise David Salardaine.Le pilotage de la ventilation au sein de ces différents paliers prend en compte plusieurs facteurs. Parmi eux, l’évolution des températures extérieures bien-sûr mais également l’exploitation, en priorité, des heures creuses de la journée à des fins d’optimisation de la facture énergétique.&nbsp;OptiVentil : une avancée majeure dans le pilotage de la ventilationL’outil <a href="https://www.solutionsplus.coop/zoom-sur-optiventil-faire-rimer-innovation-avec-simplification/">Optiventil</a> de LCA // Solutions + a été pensé pour permettre une réduction de la consommation énergétique du poste ventilation ainsi qu’une baisse de l’usage d’insecticides de stockage. Son principe ? En suivant les données de consommation des silos en temps réel et de la météo, OptiVentil identifie les périodes de ventilation et vérifie si elles sont efficaces compte tenu de la température extérieure.“OptiVentil permet de visualiser les périodes où la ventilation n’est pas réalisée à bon escient. Or, on réalise qu’on est à prés de 100% d’efficacité. En revanche, ce qui ressort sur les 300 sites équipés de l’outil, c’est une moyenne de 50% des heures utiles de ventilation qui ne sont pas utilisées même avec un été caniculaire. Sans OptiVentil, on n’aurait jamais pu mettre cela en évidence” explique David Salardaine. “Et dans un contexte de hausse de prix de l’énergie au passage à l’heure d’hiver (au 1er novembre, ndlr) c’est une situation qui devient problématique”Parmi les causes identifiées, des systémes d’horloge ou de pilotage de ventilation programmés sur les heures creuses alors que nombre d’heures pleines auraient pu être exploitées sur des tarifs été.La conséquence ? “Des heures de froid sous-utilisées engendrant un retard dans la réalisation du premier palier de ventilation qui, naturellement, entraîne un retard dans le deuxiéme palier”.&nbsp;Jusqu’au 31 octobre 2022 : objectif optimisation !L’enjeu est donc clair : jusqu’au 31 octobre, il convient d’exploiter l’ensemble des heures utiles pour assurer des économies importantes et se rapprocher le plus possible de la réalisation totale du palier de ventilation numéro 2.Un moyen d’action efficace : la déprogrammation des systémes de pilotage horaires (qu’il conviendra bien-sûr de réactiver en novembre au passage au tarif d’hiver).“Ce qu’il faut absolument retenir, c’est qu’il vaut mieux fonctionner en heure pleine jusqu’à fin octobre. L’impact en termes de facture énergétique sera toujours inférieur à un fonctionnement en heures creuses à compter de début novembre” souligne David Salardaine.Réduction de la facture énergétique et réduction du risque insecte : un double impact vertueux directement lié à la pleine exploitation des périodes de froid !Sur un cas pratique&nbsp;:&nbsp;<img src="/uploads/Capture_decran_2022_10_20_a_11_47_37_1536x865_0a46dddc87.png" alt="Capture-décran-2022-10-20-à-11.47.37-1536x865.png" srcset="/uploads/thumbnail_Capture_decran_2022_10_20_a_11_47_37_1536x865_0a46dddc87.png 245w,/uploads/small_Capture_decran_2022_10_20_a_11_47_37_1536x865_0a46dddc87.png 500w,/uploads/medium_Capture_decran_2022_10_20_a_11_47_37_1536x865_0a46dddc87.png 750w,/uploads/large_Capture_decran_2022_10_20_a_11_47_37_1536x865_0a46dddc87.png 1000w," sizes="100vw">

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Et si nous revenions sur ton parcours&nbsp;?A l’origine, je suis un logisticien pur et dur – à une époque où la logistique était d’ailleurs encore un domaine peu connu. Je débute ma carriére au sein d’Horti-CAVAL en Anjou à la fonction de responsable industriel et logistique puis aprés 5 ans changement de décor&nbsp;: je rejoins Terrena Semences (devenu Cérience, ndlr). J’y passerai 10 années particuliérement enrichissantes et stimulantes professionnellement.&nbsp; J’y apprends à travailler avec tous les semenciers mondiaux dans des domaines trés variés. Mais ce n’est pas tout&nbsp;!&nbsp; C’est aussi à cette période que je développe de nombreuses compétences et techniques en matiére de relation clients.Aprés ces 10 années, changement de cap&nbsp;: je rejoins les Calendriers de Paris en tant que responsable logistique et industriel. Ce qui m’anime dans cette évolution&nbsp;? La dynamique PME, la prise de responsabilités qu’elle implique et le passage du monde des semences à l’imprimerie, autre métier chargé d’histoire et d’évolution technologique&nbsp;!Mais l’appel du monde agricole est plus fort et j’intégre 5 ans plus tard Anjou Maine Céréales (AMC) – en tant que responsable logistique. Aux côtés de son dirigeant historique Pierre Guy, j’y élargis mon champ de connaissances à travers le pilotage des activités de nutrition animale, de collecte et de distribution. Puis retour chez Terrena – à l’occasion du rachat d’AMC par le Groupe – où je deviens Directeur des Métiers du Grain, poste que j’ai occupé pendant 5 ans avant de rejoindre les équipes de LCA // Solutions + en avril dernier.Mon parcours ne serait pas ce qu’il est s’il n’avait pas été rythmé par de nombreuses formations. Parmi les plus marquantes&nbsp;: le cycle «&nbsp;Manager un centre de responsabilités&nbsp;» en 2002 au sein de l’IFG, un master en logistique industrielle au CNAM de 2006 à 2008 et enfin le parcours «&nbsp;Directeur d’Unité Opérationnelle&nbsp;» à Audencia en 2017. Autant d’opportunités de monter en compétences et d’en développer de nouvelles qui m’ont permis d’évoluer tout au long de ma carriére.Tout ceci me permet aujourd’hui d’aborder mes nouvelles fonctions avec énormément de sérénité&nbsp;: je suis dans un métier que je maîtrise, j’ai construit ma légitimité et j’apporte mon expertise et ma connaissance terrain aux coopératives adhérentes de LCA // Solutions +.<img src="/uploads/Sans_titre_2_1536x422_bfd21472e7.png" alt="Sans-titre-2-1536x422.png" srcset="/uploads/thumbnail_Sans_titre_2_1536x422_bfd21472e7.png 245w,/uploads/small_Sans_titre_2_1536x422_bfd21472e7.png 500w,/uploads/medium_Sans_titre_2_1536x422_bfd21472e7.png 750w,/uploads/large_Sans_titre_2_1536x422_bfd21472e7.png 1000w," sizes="100vw">C’est quoi ta fonction exacte chez LCA // Solutions + ?Mon action se déploie autour de 2 missions trés complémentaires. La premiére consiste au développement commercial de nos solutions de performance industrielle&nbsp;: j’identifie les besoins et je propose les solutions concrétes pertinentes. La seconde consiste en un rôle de Chef de Projet&nbsp;: j’organise, je coordonne, je cadence le développement et le déploiement de ces solutions au sein des coopératives. Par ailleurs, j’interviens également en tant que facilitateur dans le cadre de certaines formations.Au-delà de ce cadre purement opérationnel, ce qui constitue le moteur de mon action ce sont les 3 défis auxquels je dois répondre systématiquement&nbsp;: faire gagner du temps, faire gagner de l’argent et enfin faire progresser et accompagner les coopératives dans la réalisation de leurs transitions.Le projet OptiCéréales, qui sera déployé dans les prochains mois, en est une parfaite illustration. &nbsp;OptiCéréales, c’est LA plateforme proposée par LCA // Solutions + qui met à disposition l’ensemble des solutions de digitalisation et de pilotage de la chaîne de collecte et du travail du grain. En d’autres termes, un écosystéme unique qui répond à l’ensemble des défis des coopératives sur cette thématique&nbsp;: optimiser (temps&nbsp;/ budget), mutualiser et progresser, ensemble.&nbsp;Qu’est-ce que tu apprécies tout particuliérement dans le fait de travailler chez LCA // Solutions + ?C’est un mélange de plusieurs choses&nbsp;! Tout d’abord, le dynamisme de la structure. De par notre principe de fonctionnement – une coopérative au service des coopératives – mais aussi de par notre raison d’être – acteurs du succés des transitions des coopératives agricoles – on se doit d’être en mouvement perpétuel. Notre enjeu au quotidien&nbsp;? Répondre à des problématiques trés concrétes pour accompagner les coopératives agricoles dans leurs évolutions.&nbsp; En d’autres termes&nbsp;:&nbsp; c’est varié, ça bouge, ça innove, on crée des solutions nouvelles qu’on déploie rapidement et le sens de notre action est trés clair. C’est ultra stimulant&nbsp;!Ensuite, l’ambiance au sein du collectif LCA // Solutions + est évidemment un élément qu’il convient de souligner. Des terrains de jeu – formation, performance industrielle – et des profils trés variés mais qui se retrouvent et se complétent dans une action commune. Rien n’est cloisonné et c’est une vraie force. Chacun peut être amené à contribuer aux différents projets et c’est cette richesse de compétences, d’expériences et de points de vue qui permet d’aboutir au déploiement de solutions efficaces pour les coopératives agricoles.

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La Coop Academy : une démarche innovante qui a fait ses preuves...La Coop Academy, c’est l’offre de formations en ligne dédiée aux coopératives agricoles lancée par LCA // Solutions + depuis 2017.Son principe ? La mise à disposition, à travers une plateforme digitale dédiée, de contenus de formation spécialement conçus pour répondre aux problématiques du marché.“ Avec plus de 10 000 apprenants formés en 5 ans, une offre plébiscitée dés son lancement” souligne Myléne Champain, conseillére formation LCA // Solutions + et responsable de la Coop Academy, “mais qui trouve certaines limites dans son modéle de déploiement” : une solution efficace de collaborative learning déjà disponible sur le marché qui ne répond toutefois pas totalement aux besoins de flexibilité et de personnalisation compléte des coopératives.&nbsp;Une offre illimitée et entiérement personnalisable : quand la Coop Academy fait peau neuveParmi les enjeux prioritaires identifiés : proposer un format de licences illimité plus flexible et une personnalisation totale plus adaptée aux besoins réels des coopératives tout en assurant une expérience utilisateur simplifiée. Autant d’enjeux ne trouvant pas de réponse pertinente dans les solutions déjà proposées sur le marché.“L’objectif reste toujours le même au sein de LCA // Solutions + : accompagner les coopératives au plus prés de leurs problématiques. Nous avons donc rapidement décidé de construire notre propre plateforme pour nous aligner sur leurs besoins spécifiques” précise Myléne Champain.Le résultat ? Une nouvelle plateforme made in LCA // Solutions + lancée depuis septembre 2022.&nbsp;Avec la Coop Academy, vous avez tout comprisSi l’offre de base reste inchangée (accés aux 25 parcours uniques de la plateforme par l’intermédiaire de licences à durée limitée, ndlr) la nouvelle version de la Coop Academy propose désormais la possibilité, pour les coopératives qui le souhaitent, d’un accés illimité (sous conditions) et d’une personnalisation totale :<ul><li>Création d’une plateforme, d’un nom de domaine associé et d’un accés dédié</li><li>Mise aux couleurs de la coopérative</li><li>Possibilité de venir injecter des contenus spécifiques</li></ul>Autant de fonctionnalités qui trouvent déjà écho auprés de certains “early adopters”. «&nbsp; Certaines coopératives nous avaient déjà remonté des besoins de ce type. Cette version augmentée de la Coop Academy semble parfaitement répondre à leurs attentes et plusieurs d’entre elles se lancent déjà dans cette nouvelle aventure” indique Myléne Champain.Pour l’offre de plateforme personnalisée, deux formules possibles :<ul><li>La formule ESSENTIEL, qui donne accés en illimité à 3 parcours de la Coop Academy (paiement à la licence pour les autres)</li><li>La formule PREMIUM, qui elle donne accés en illimité à l’ensemble des parcours du catalogue</li></ul>“Avec cette offre compléte et qui poursuit son développement (de nouveaux parcours sont en cours de finalisation, ndlr), nous sommes ravis de participer activement à l’accélération de la digitalisation de la formation au sein des coopératives agricoles !”

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Et si nous revenions sur votre parcours ?Aprés un BTS agricole, j’ai débuté ma carriére en tant que Conseiller de Gestion auprés des agriculteurs. Aprés 5 années à exercer cette fonction, j’ai décidé de rejoindre le monde coopératif que je n’ai plus quitté par la suite. Je travaille aujourd’hui depuis 33 ans dans le groupe Advitam au sein duquel j’ai occupé successivement plusieurs postes :&nbsp; Animateur – achat et vente – des fournitures pour les agriculteurs, Directeur de Région, Directeur Administration Générale et Moyens Généraux et enfin Directeur Administratif et Financier, fonction que j’occupe depuis 14 ans maintenant.&nbsp;Et l’histoire avec LCA // Solutions + ?Une histoire de longue date, c’est certain, le Groupe Advitam étant adhérent de LCA // Solutions + depuis sa création !&nbsp; C’est un partenaire privilégié qui sait accompagner depuis de nombreuses années nos groupes coopératifs dans leurs transitions qu’elles soient industrielles, organisationnelles, logistiques...LCA // Solutions + anticipe, analyse chaque évolution et propose pour chacune d’elles des solutions pragmatiques souvent co-construites avec les collaborateurs des groupes coopératifs volontaires. Et si ces solutions nécessitent le développement de nouvelles compétences, celles-ci sont naturellement développées par LCA // Solutions +.Cela constitue, à mes yeux, un atout majeur et unique&nbsp;: cette capacité à toujours s’adapter et à évoluer en fonction des problématiques qui impactent les coopératives agricoles. Si en 2000, il était nécessaire d’accompagner les coopératives dans les achats de téléphonie (fixe ou mobile), aujourd’hui, c’est sur la formation à distance ou encore le déploiement de solutions techniques d’optimisation de la chaîne du grain qu’elles attendent un accompagnement. &nbsp;Et elles le trouvent auprés de LCA // Solutions +. &nbsp;La gamme des « Opti» mais également le récent développement du parcours AgroTC, parcours destiné aux technico-commerciaux et à leurs problématiques, en sont deux parfaites illustrations.&nbsp;Comment se concrétise ce partenariat ?Il prend différentes formes : des clubs, des groupes de travail, des échanges avec toutes les composantes des groupes coopératifs adhérents à LCA // Solutions + (qui sont trés souvent simultanément adhérents au syndicat des coopératives agricoles françaises – La Coopération Agricole). D’ailleurs, les échanges réguliers entre LCA et LCA // Solutions + permettent d’assurer une grande cohérence des actions et des positions de chacun.&nbsp;Vos 3 mots pour définir ce partenariat ?Ecoute, co-construction et efficience&nbsp;Vous êtes également administrateur de LCA // Solutions +. Pourquoi avoir accepté cette fonction ?En premier lieu, parce qu’on me l’a demandé. Notre précédent Président, qui assurait le rôle d’Administrateur, était en effet convaincu de l’intérêt de mettre un opérationnel à cette fonction. C’est d’ailleurs intéressant de voir l’évolution au sein du bureau : petit à petit, nous sommes arrivés à une répartition équilibrée entre agriculteurs administrateurs et responsables opérationnels de coopératives.Ensuite, parce que cette prise de fonction faisait sens au regard de mes enjeux et de mon périmétre d’actions de l’époque. &nbsp;Cette responsabilité me permettait de mieux comprendre les réglementations, de pouvoir les décliner au sein de notre groupe et surtout de participer concrétement aux échanges entre administrateurs. Le collectif est une vraie force au service du collectif&nbsp;!&nbsp;Quelles sont vos aspirations par rapport à ce rôle ? Et selon vous, à quels défis devrez-vous répondre dans les prochaines années ?Ce qui m’anime ? Participer à l’élaboration de la stratégie de LCA // Solutions + au service des agriculteurs avec la volonté permanente de perpétuer l’esprit collectif.Parmi les principaux défis que j’identifie, je répondrai sans hésiter maintenir le mouvement engagé face à la grande volatilité du monde économique. Aujourd’hui, le Président, les Administrateurs et le Directeur oeuvrent pour s’assurer que cette dynamique de transformation perdure et qu’elle réponde, jour aprés jour, aux besoins des sociétés des groupes coopératifs. D’ailleurs, j’invite tous les coopératives agricoles qui n’ont jamais fait appel à LCA // Solutions + à découvrir sans plus attendre son action à travers son compte LinkedIn ou encore le catalogue de services. La participation d’un plus grand nombre d’adhérents à cette union de coopératives participera au succés du projet collectif&nbsp;!

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Et si vous nous en disiez un peu plus sur vous et sur votre parcours ?Aprés 13 années passées en tant que salarié du secteur agroalimentaire – de la fonction de junior à celle de Directeur Général – j’ai souhaité me lancer dans l’aventure entrepreneuriale. En 1998, je crée donc mon cabinet de conseil et formation en stratégie Cazals &amp; Partners. Une trés belle aventure qui fête d’ailleurs ses 25 ans l’année prochaine&nbsp;! En paralléle, je suis professeur adjoint en stratégie à HEC et j’ai également une activité citoyenne puisque je suis officier de réserve dans la Gendarmerie Nationale depuis plus de 6 ans – je suis affecté au cabinet du Directeur Général de la Gendarmerie Nationale au Pôle Stratégie.&nbsp; Il faut bien se rendre à l’évidence&nbsp;: le mot qui me définit le mieux, c’est slasheur&nbsp;!<img src="/uploads/Sans_titre_1536x527_dc96ce6a10.png" alt="Sans-titre-1536x527.png" srcset="/uploads/thumbnail_Sans_titre_1536x527_dc96ce6a10.png 245w,/uploads/small_Sans_titre_1536x527_dc96ce6a10.png 500w,/uploads/medium_Sans_titre_1536x527_dc96ce6a10.png 750w,/uploads/large_Sans_titre_1536x527_dc96ce6a10.png 1000w," sizes="100vw">Comment vous est venue l’envie de transmettre ?Tout d’abord, je dirais qu’elle coïncide avec le lancement de mon projet entrepreneurial. En effet, quand j’ai créé mon entreprise, j’ai dû réfléchir à mon business model. Il m’a paru essentiel d’identifier des activités récurrentes. &nbsp;C’est donc assez naturellement que je me suis tourné vers des interventions en école de commerce. &nbsp;Et je me suis pris au jeu&nbsp;! De vacataire dans diverses écoles jusqu’à directeur de programme au sein de l’école HEC, c’est avec un plaisir renouvelé que j’interviens auprés de différents publics avec la même énergie de transmettre et d’accompagner la montée en compétences. C’est un exercice particuliérement stimulant et enrichissant&nbsp;!&nbsp;Et l’histoire avec LCA // Solutions + ?Elle commence par une rencontre, en 2007, via l’ESSEC. A l’époque, DIRCA, LCA // Solutions + et l’ESSEC sont sur le point de lancer un parcours unique dédié aux dirigeants de coopératives agricoles – <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/aristee-formation-management-dirigeants-salaries-cooperatives/">Aristée</a> – et ils me proposent de rejoindre l’aventure. J’ai tout de suite accepté... et cela fait 15 ans que ça dure&nbsp;!Par la suite, j’ai rejoint <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/seneque-formation-gouvernance-administrateurs-cooperatives-agricoles/">Sénéque</a> – le parcours dédié aux administrateurs de coopératives agricoles – et je suis aussi amené à intervenir réguliérement aux côtés de LCA // Solutions + dans le cadre de programmes trés spécifiques. Mes terrains de jeux de prédilection&nbsp;? La stratégie, bien-sûr, et la transformation par la technologie.&nbsp;&nbsp;Qu’est-ce qui vous stimule tout particuliérement dans le fait d’intervenir sur ces parcours et dans ce secteur ?Le monde de la coopération agricole n’a jamais cessé de me passionner&nbsp;: aussi bien lorsque j’étais salarié qu’aujourd’hui, à travers mes missions de conseil et de formation.C’est un secteur complexe qui fait face à des problématiques majeures. Je suis trés enthousiaste à l’idée de pouvoir accompagner, à mon niveau, cette réflexion collective de transformation et cette dynamique globale. C’est trés motivant.Et je dois avouer que le partenariat qui s’est construit au fil des années avec LCA // Solutions + contribue à cet enthousiasme. Nous avons développé des relations professionnelles particuliérement simples et chaleureuses. C’est fluide, facile et trés respectueux.&nbsp;Ce qui nous améne à la derniére question de cet entretien. Si vous deviez résumer votre partenariat avec LCA // Solutions + en 3 mots, lesquels choisiriez-vous&nbsp;?Alors, sans hésiter&nbsp;: convivialité&nbsp;; professionnalisme – parce que tout se fait et se construit avec beaucoup de clarté, de simplicité et de sérieux&nbsp;; et enfin innovation. Plus qu’une force, c’est un atout essentiel que porte LCA // Solutions + et l’ensemble de son réseau de partenaires pour répondre aux défis du monde de la coopération agricole.

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Le contexte actuel d’augmentation des coûts énergétiques impose aux coopératives agricoles de déployer des initiatives toujours plus efficaces en termes de réduction de consommation d’énergie et d’amélioration de la performance industrielle.Parmi les enjeux prioritaires&nbsp;: le maintien sur le long terme – au plus bas possible – du niveau des talons de consommations électriques de l’ensemble des sites (ndlr : le talon est la consommation minimale du site, qui a lieu même lorsque le site est à l’arrêt).En effet, les audits réglementaires effectués ces 3 derniéres années par LCA // Solutions + ont permis d’identifier une économie possible de la consommation électrique de l’ordre de 10% à 20%.C’est donc dans cette optique que LCA // Solutions + a développé la solution OptiElec.&nbsp;OptiElec&nbsp;: un outil opérationnel, l’accompagnement en plusL’objectif d’OptiElec&nbsp;? Proposer aux coopératives agricoles une solution globale reposant sur 3 piliers incontournables&nbsp;:– identifier le niveau actuel des talons de consommations électriques de chaque site,– accompagner les responsables de site dans l’identification de l’origine de ces talons afin de supprimer les consommations inutiles,– enfin, suivre le niveau de ces talons dans le temps afin de garantir leur maintien au plus bas niveau possible.&nbsp;Et concrétement, comment ça marche&nbsp;?&nbsp;OptiElec permet, chaque jour, de récupérer les courbes de charges de l’ensemble des sites, de les analyser et de les rendre compréhensibles. L’enjeu&nbsp;? Permettre d’identifier de façon précise le niveau de talon quotidien.A cela s’ajoute un accompagnement individuel – à distance – du responsable de site par l’équipe LCA // Solutions +. Cet accompagnement sur-mesure a été pensé pour permettre d’identifier&nbsp;:– les équipements à l’origine du talon actuel,– les causes de leur fonctionnement en continu 24h/24,– mais surtout les actions correctives permettant de réduire leur temps de fonctionnement.&nbsp;En exclusivité, les premiers écrans de OptiElec...&nbsp;Un tableau de bord fluide<img src="/uploads/Capture_decran_2022_09_20_a_17_52_42_1536x494_eb6afec813.png" alt="Capture-décran-2022-09-20-à-17.52.42-1536x494.png" srcset="/uploads/thumbnail_Capture_decran_2022_09_20_a_17_52_42_1536x494_eb6afec813.png 245w,/uploads/small_Capture_decran_2022_09_20_a_17_52_42_1536x494_eb6afec813.png 500w,/uploads/medium_Capture_decran_2022_09_20_a_17_52_42_1536x494_eb6afec813.png 750w,/uploads/large_Capture_decran_2022_09_20_a_17_52_42_1536x494_eb6afec813.png 1000w," sizes="100vw">Un graphique temporel et des indicateurs clés<img src="/uploads/Sans_titre_2_1_ccaceee879.png" alt="Sans-titre-2-1.png" srcset="/uploads/thumbnail_Sans_titre_2_1_ccaceee879.png 245w,/uploads/small_Sans_titre_2_1_ccaceee879.png 500w," sizes="100vw">La possibilité de gérer des alertes sur l’application et par réception de mail<img src="/uploads/Sans_titre_3_9409e2bbb7.png" alt="Sans-titre-3.png" srcset="/uploads/thumbnail_Sans_titre_3_9409e2bbb7.png 245w,/uploads/small_Sans_titre_3_9409e2bbb7.png 500w," sizes="100vw">Pour plus d’informations sur notre outil OptiElec , contactez : <a href="mailto:sbeau@solutionsplus.coop">sbeau@solutionsplus.coop</a>

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Et si nous revenions sur ton parcours&nbsp;?Et si nous revenions sur mes origines tout d’abord (rires)&nbsp;? Plaisanterie mise à part, elles ont un véritable impact sur le parcours que j’ai construit jusqu’ici.Je suis Normande et mon histoire familiale prend son ancrage au sein du monde agricole. Mon pére est en effet agriculteur en polyculture-élevage en GAEC avec son frére. J’ai grandi sur l’exploitation jusqu’à mes 18 ans.Puis j’ai quitté ma trés chére Normandie – je vous ai dit que j’étais Normande&nbsp;? (rires) –&nbsp; pour rejoindre l’EDHEC (École des hautes études commerciales du Nord) à Lille puis réaliser un master en entrepreneuriat et stratégie à l’Université d’Arras.Ma carriére professionnelle, j’ai la chance de la débuter en alternance au sein de Miimosa, le leader européen du financement participatif sur les thématiques agricoles et alimentaires. J’y occupe la fonction de Responsable Partenariats. A l’issue de cette expérience, je rejoins La Coopération Agricole. Une période trés riche en apprentissages, tant d’un point de vue stratégique qu’opérationnel. J’y resterai 3 ans.Puis changement d’univers&nbsp;: je prends 2 ans et demi pour m’occuper de mes enfants – trés formateur en termes d’organisation (rires). Ma conviction lorsque je décide de revenir à mon activité professionnelle&nbsp;? Poursuivre dans le milieu agricole&nbsp;! Et c’est comme ça que je rejoins les équipes de LCA // Solutions + en janvier dernier. &nbsp;Une nouvelle page à écrire...<img src="/uploads/Sans_titre_1_1536x410_8128f5c76a.png" alt="Sans-titre-1-1536x410.png" srcset="/uploads/thumbnail_Sans_titre_1_1536x410_8128f5c76a.png 245w,/uploads/small_Sans_titre_1_1536x410_8128f5c76a.png 500w,/uploads/medium_Sans_titre_1_1536x410_8128f5c76a.png 750w,/uploads/large_Sans_titre_1_1536x410_8128f5c76a.png 1000w," sizes="100vw">C’est quoi ta fonction exacte chez LCA // Solutions + ?Je suis Conseillére Formation et plus particuliérement en charge des programmes <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/aristee-formation-management-dirigeants-salaries-cooperatives/">Aristée</a> – management des coopératives agricoles et agroalimentaires pour dirigeants salariés – et <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/agromanager-parcours-directeurs-cadres-cooperatives-agricoles/">AgroManager</a> – cycle de perfectionnement pour directeurs et cadres des coopératives agricoles et de leurs filiales. A mes yeux, ce sont deux cursus essentiels dans l’accompagnement de l’évolution et des transitions du monde coopératif. C’est trés stimulant de participer à l’émergence de talents sur l’ensemble du territoire. Et à titre personnel, c’est un trés beau challenge puisque ce sont deux parcours iconiques de LCA // Solutions +&nbsp;!&nbsp;En parlant de challenge, quels sont les principaux défis de ta fonction&nbsp;?Ils sont multiples. Faire rayonner Aristée et AgroManager tout d’abord. Faire connaître, expliquer, mettre en lumiére le caractére unique de ces programmes et assurer leur excellence pédagogique en garantissant la qualité du contenu et des intervenants (2 à 3 modules sont renouvelés tous les ans, introduction du digital learning...).Ensuite, assurer leur bonne commercialisation&nbsp;: trouver les bons participants, orienter les coopératives et les accompagner dans la mise en place de ces cycles. Une nouveauté pour moi qui ne suis pas commerciale de formation. Là-dessus, j’ai la chance de bénéficier d’un accompagnement spécifique et du soutien inconditionnel de l’équipe. C’est simple, chez LCA // Solutions + on ne se retrouve jamais seul. Tout le monde est soudé et s’organise pour accompagner la montée en compétences. C’est trés précieux&nbsp;!Et enfin, dernier challenge : veiller au bon déroulement global. Cela signifie être à l’écoute des membres de chaque promotion mais aussi des intervenants et de nos partenaires pour faire de chaque cycle une réussite collective.&nbsp;Qu’apprécies-tu particuliérement dans le fait de travailler chez LCA // Solutions + ?C’est un mélange de tellement de choses&nbsp;! Le secteur bien-sûr&nbsp;: je suis là où j’aime être et où je me sens utile. Je ne me verrais vraiment pas ailleurs&nbsp;! J’apprécie tout particuliérement le contact avec les participants des promotions&nbsp;: c’est simple, respectueux et authentique.Et ensuite, sans hésiter, l’équipe et ce qu’elle véhicule. Je me retrouve totalement dans ses valeurs : joie, exigence, solidarité et diversité. Chez LCA // Solutions +, on est tous animés par une envie d’avancer ensemble dans l’intérêt des coopératives agricoles. C’est une ambiance de travail saine, stimulante et qui va toujours dans le bon sens. Bref... je suis ravie&nbsp;!

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Sur la base de&nbsp;plus d’une centaine d’audits énergétiques&nbsp;&nbsp;réalisés ces 3 derniéres années, LCA // Solutions + met à la disposition du plus grand nombre&nbsp;un&nbsp;livre blanc&nbsp;qui en synthétise&nbsp;les principales conclusions &nbsp;:<ul><li>structure globale de la consommation énergétique des silos de stockage,</li><li>indicateurs de performance énergétique pertinents à suivre,</li><li>principales actions d’économies d’énergie envisageables et indication sur le temps du retour sur investissement et du niveau d’économie attendu</li></ul>&nbsp;Efficacité et pilotage de ventilation, réduction du talon de consommation, audit et conseil sur vos pratiques, formation...les équipes de LCA//Solutions+&nbsp;sont à votre disposition pour échanger sur ces sujets.Votre interlocuteur dédié&nbsp; : Stephan BEAU, Chef de projet « Performance Industrielle » (Tél : 07 63 88 13 52 /<a href="mailto:sbeau@solutionsplus.coop">sbeau@solutionsplus.coop</a> )<figure class="image image_resized" style="width:25%;"><img src="/uploads/b0689a9c_6e13_0b69_59e5_5fd0f392bb53_1_815eac8f32.png" alt="b0689a9c-6e13-0b69-59e5-5fd0f392bb53-1.png" srcset="/uploads/thumbnail_b0689a9c_6e13_0b69_59e5_5fd0f392bb53_1_815eac8f32.png 131w,/uploads/small_b0689a9c_6e13_0b69_59e5_5fd0f392bb53_1_815eac8f32.png 420w,/uploads/medium_b0689a9c_6e13_0b69_59e5_5fd0f392bb53_1_815eac8f32.png 630w," sizes="100vw"></figure>

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Et si nous revenions sur votre parcours ?C’est un exercice auquel j’aime volontiers me prêter. Tout simplement parce que lorsque je jette un oeil à mon parcours, je le trouve rempli de belles surprises (rires).J’ai fait les Beaux-Arts et j’ai commencé ma vie professionnelle en tant que réalisateur et monteur vidéo. Mes terrains de jeu de l’époque ? Le cinéma, les films institutionnels mais aussi la publicité.En tant que spécialiste de l’image, il m’arrivait d’être sollicité pour intervenir dans des formations. Au début, c’était trés ponctuel. Et puis ces interventions se sont multipliées et j’ai peu à peu réalisé que mes compétences et mes points forts s’exprimaient encore mieux dans le cadre de la formation.Pendant plusieurs années, j’ai souhaité conserver mes deux activités de réalisateur et de consultant-formateur. Toutefois, il n’y a que 24h dans une journée et 7 jours dans une semaine : j’ai dû faire un choix. Cela fait 7 ans que je me consacre exclusivement à mon activité de consultant et formateur en communication interpersonnelle, activité que j’ai débuté il y a maintenant prés de 20 ans.<img src="/uploads/Sans_titre_1_1536x507_da0ec3d9fd.png" alt="Sans-titre-1-1536x507.png" srcset="/uploads/thumbnail_Sans_titre_1_1536x507_da0ec3d9fd.png 245w,/uploads/small_Sans_titre_1_1536x507_da0ec3d9fd.png 500w,/uploads/medium_Sans_titre_1_1536x507_da0ec3d9fd.png 750w,/uploads/large_Sans_titre_1_1536x507_da0ec3d9fd.png 1000w," sizes="100vw">Consultant et formateur en communication interpersonnelle, ça consiste en quoi concrétement ?Je dirais que cela consiste à servir un objectif clair : développer et enrichir le leadership au travers d’une posture de communicant efficace. Je déploie cette action autour de 3 champs d’action principaux : la prise de parole en public, le media training et enfin la gestion de conflit.Comment vous est venue l’envie de transmettre ?Déjà parce que je suis curieux du réel, des autres et que j’aime partager. Mais c’est surtout, selon moi, une suite logique. Mon métier initial s’articule autour de l’enjeu de transmission – raconter une histoire, créer du sens, susciter des émotions ou encore accompagner le regard. Mon métier de formateur en est une parfaite continuité : apprendre à regarder, prendre le temps de jeter un oeil, s’arrêter deux secondes pour observer et questionner.Et l’histoire avec LCA // Solutions + ?L’histoire avec LCA // Solutions +, elle dure depuis 10 ans déjà ! Et j’ai la chance d’avoir un champ d’intervention large à leurs côtés : au sein des parcours <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/aristee-formation-management-dirigeants-salaries-cooperatives/">Aristée</a> et <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/seneque-formation-gouvernance-administrateurs-cooperatives-agricoles/">Sénéque</a> dédiés aux dirigeants et administrateurs de coopératives agricoles et plus récemment au sein du parcours <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/agromanager-parcours-directeurs-cadres-cooperatives-agricoles/">AgroManager</a> ; pour les modules prise de parole et média training des cycles <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/pales-parcours-formation-administrateurs-cooperatives-agricoles/">Palés</a> (formations sur-mesure pour administrateurs de coopératives agricoles, ndlr) et <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/cybele-parcours-jeune-adherent-cooperative/">Cybéle</a> (fonctionnement coopératif pour jeunes adhérents, ndlr); et enfin, dans le cadre des <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/certificat-de-qualification-professionnel-agent-de-silo/">CQP</a> auprés des techniciens de silos.Qu’est-ce qui vous stimule tout particuliérement dans le fait d’intervenir sur ces formations / parcours ?C’est un mélange de plusieurs choses en fait. En premier lieu, la confrontation à la diversité des expertises et des savoirs faires de la coopération agricole. C’est un monde tellement vaste et tellement multiple. Chacun des apprenants que j’accompagne porte en lui une partie de cette richesse. C’est trés stimulant car ça implique un questionnement systématique. Cela me permet de ne jamais ronronner et de toujours me remettre en cause.Ensuite, parce qu’il y a une véritable problématique autour de la prise de parole dans le monde agricole. Elle est souvent vécue comme une forme d’arrogance et d’exposition personnelle. Je suis heureux de les aider à aller au-delà de cette idée. C’est essentiel pour eux de reprendre la main sur ce qui se dit d’eux, de leurs pratiques, de leur quotidien.Et enfin, l’esprit LCA // Solutions +. Leur façon d’accompagner les coopératives bien-sûr : il y a beaucoup d’écoute, d’adaptabilité et une dynamique de construction sur-mesure pour délivrer des solutions à la carte. Mais ce n’est pas juste ça. Il y a aussi la diversité des profils, tant des équipes que des autres intervenants et l’accompagnement qui nous est proposé. J’apprécie particuliérement le Café Visio organisé tous les trimestres. C’est un moment de partage de bonnes pratiques, d’échanges mais aussi une pause enrichissante entre intervenants. J’ai plaisir à y participer à chaque fois.

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LCA // Solutions + vous propose de réaliser la visite d’un séchoir à grain comme vous ne l’avez sans doute jamais vécue. Le principe ? Une vidéo en réalité virtuelle qui permet au salarié de s’immerger dans l’activité de séchage grâce à un casque (OCULUS Go ou Quest). À chacune des étapes, l’accent est porté sur les principales composantes avec un focus sur les risques et les précautions à prendre.&nbsp;Un outil plébiscitéEn matiére de réalité virtuelle, LCA // Solutions + n’en est pas à son coup d’essai. En effet, <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/realite-virtuelle-securite-silo/">le film sur les risques en silo</a>, lancé en 2020, a déjà fait de nombreux adeptes ! C’est d’ailleurs convaincues par le format – son orientation résolument pratique, son impact fort et sa haute capacité de sensibilisation – que certaines coopératives ont exprimé leur souhait d’aller plus loin.“Plusieurs coopératives nous ont demandé s’il y aurait des suites au film sur les risques en silo. Le théme du séchage – sujet trés sensible en termes de sécurité – étant remonté à plusieurs reprises, c’est naturellement sur celui-ci que se sont portés nos efforts de développement” souligne Myléne Champain.&nbsp;Un partenaire de confianceAtout indéniable dans cette démarche : l’accompagnement par un partenaire historique de LCA // Solutions +, FRL Productions. “Antoine Jézéquel (Directeur de FRL Productions, ndlr) a une connaissance aiguisée des problématiques du monde de la coopération agricole. Comme pour le film sur les risques en silo, il nous a accompagné à travers une démarche de co-construction d’un bout à l’autre du projet en veillant systématiquement à rester en cohérence avec la réalité du secteur”.C’est d’ailleurs cette co-construction et cette connaissance pointue de la problématique qui ont rapidement orienté vers un format 180° : “au regard de la configuration des installations – les silos sont étroits – le 360° n’était pas pertinent et c’est le format 180° qui nous permettait d’atteindre la qualité d’image recherchée”.&nbsp;Une expérience immersive qui décuple les enseignementsLe résultat ? Un format inédit qui booste l’appropriation. “Avec une formation basée sur une simple vidéo, on ne se rend pas compte de la réalité. Ici, l’immersion proposée par l’outil permet d’être en prise directe avec le réel. On est dans un séchoir, on voit exactement à quoi cela ressemble : quand on parle d’un brûleur, quand on parle de diédres, on les voit. Cela permet d’appréhender les choses telles qu’elles sont”.Et pour ce nouveau film, LCA // Solutions + a souhaité aller encore plus loin dans la démarche, en proposant une nouveauté particuliérement pertinente dans un format de formation : l’interactivité. “On invite les gens à participer par l’intermédiaire de questions posées tout au long du film, qui dure 10 minutes. Un vrai plus pour maintenir l’attention de l’apprenant et lui permettre de s’approprier les éléments au fur et à mesure”.&nbsp;Au cœur d’un mouvement plus global de digitalisation de la formationAu-delà de l’outil, ce nouveau film constitue également une confirmation de la dynamique engagée par LCA // Solutions + depuis plus de 2 ans déjà. L’objectif&nbsp;? Répondre aux enjeux de digitalisation qui impactent l’ensemble des coopératives agricoles françaises. « La Coop Academy, plateforme de social learning proposant un catalogue de formations d’une vingtaine de modules métiers associée à nos initiatives en matiére de réalité virtuelle constituent autant de réponses concrétes à cet enjeu incontournable de digitalisation auquel les coopératives agricoles devront répondre à court et moyen terme ».Le nouveau film en réalité virtuelle dédié au séchage : un outil résolument novateur et une nouvelle étape dans l’évolution de l’offre de formation de LCA // Solutions +. “Ce nouveau film est à l’image de notre engagement : proposer des outils plus innovants et plus adaptés à certaines problématiques afin de décupler l’appropriation des apprentissages !” A essayer d’urgence !Pour en savoir plus : <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/outil-de-formation-activite-sechage-realite-virtuelle/">https://www.solutionsplus.coop/formation/outil-de-formation-activite-sechage-realite-virtuelle/</a>

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#1 – AgroTCUn secteur en pleine mutationLes évolutions majeures que connaissent aujourd’hui les secteurs agricole et agroalimentaire impactent directement les métiers, les profils mais également les compétences attendues au sein des coopératives agricoles. Le métier de technicien-commercial, au cœur de la relation qu’entretient la coopérative avec l’agriculteur, ne fait pas exception ! Le TC doit en effet pouvoir déployer une approche globale de l’exploitation agricole en passant d’une posture de vendeur de services à celle d’apporteur de solutions complétes, en intégrant les évolutions réglementaires et les nouveaux outils digitaux.La mise en place d’un accompagnement de cette montée en compétences est donc incontournable !Un parcours spécifique certifiant à la mesure des enjeuxLa formation Agro TC a été spécialement conçue pour répondre aux challenges du métier de technicien-commercial.Ses objectifs ?<ul><li>Maîtriser les enjeux globaux et les évolutions réglementaires du secteur agricole et agroalimentaire</li><li>Construire une démarche commerciale efficace</li><li>Elaborer un diagnostic de performance globale de l’exploitation agricole</li><li>Proposer aux agriculteurs des méthodes alternatives et/ou innovantes favorisant le développement de l’agroécologie</li></ul>Et en pratique ?Agro TC c’est :<ul><li>8 jours autour 4 modules</li><li>Un planning établi sur-mesure pour s’adapter aux besoins de la coopérative</li><li>Un mix présentiel et distantiel</li><li>Une pédagogie participative favorisant l’implication des stagiaires et la montée en compétences</li></ul>Pour redécouvrir le témoignage de Isabelle Jaslet, Directrice des Ressources Humaines au sein de la coopérative CAVAC, sur le parcours AgroTC, c’est ici : <a href="https://www.solutionsplus.coop/zoom-sur-agro-tc-le-parcours-certifiant-dedie-aux-techniciens-commerciaux/">https://www.solutionsplus.coop/zoom-sur-agro-tc-le-parcours-certifiant-dedie-aux-techniciens-commerciaux/</a>&nbsp;#2 – CQP Agent de SiloLa valorisation d’un métier incontournableLe CQP Agent de Silo ou Certificat de Qualification Professionnelle d’agent de silo est un parcours certifiant en alternance, inscrit au RNCP, qui s’adresse en premier lieu aux agents de silo déjà en poste. Permettant de faire reconnaître leur qualification, il représente une&nbsp;belle&nbsp;valorisation&nbsp;de&nbsp;leur&nbsp;métier. En outre, ce dispositif renforce également l’attractivité de la coopérative qui le déploie puisqu’il ouvre des perspectives de certification particuliérement motivantes : le CQP constitue en effet souvent le premier diplôme obtenu par les agents de silo.Une formation certifiante essentielleLe parcours CQP Agent de Silo conduit à renforcer les compétences techniques et relationnelles dans la conduite des installations de stockage de céréales.Ses objectifs ?<ul><li>Gérer, dans les silos, les diverses activités rattachées au pôle « productions&nbsp;végétales »</li><li>Réaliser les différentes opérations courantes liées au fonctionnement d’un silo</li><li>Assurer – en lien avec l’équipe de terrain – le service de proximité à l’adhérent</li><li>Prévenir des risques inhérents aux activités du métier</li></ul>Et en pratique ?Le CQP Agent de Silo c’est :<ul><li>22 jours de formation répartis en 13 modules</li><li>Un planning établi sur-mesure pour s’adapter aux variations d’activité de la coopérative</li><li>Des formations sur site pour une mise en situation réelle</li><li>Un encadrement par un tuteur tout au long du parcours</li><li>L’obtention d’une certification officielle</li></ul>Pour redécouvrir le témoignage croisé d’Elvis Fouchard, stagiaire et d’Elodie Jardin, tutrice du CQP agent de silo, sur le parcours CQP c’est ici : <a href="https://www.solutionsplus.coop/zoom-sur-regards-croises-sur-le-cqp-agent-de-silo/">https://www.solutionsplus.coop/zoom-sur-regards-croises-sur-le-cqp-agent-de-silo/</a>&nbsp;#3 – Optimiser la performance énergétique dans ses silosRépondre aux enjeux de maîtrise et de réduction des consommations énergétiquesAujourd’hui, les coopératives agricoles ont à faire face à de multiples enjeux dans la gestion de la chaîne de collecte et du travail du grain. Parmi eux, l’optimisation de la performance énergétique des silos constitue une problématique incontournable.Une formation qui favorise un passage à l’actionLa formation “Optimiser la performance énergétique dans ses silos” a été déployée par LCA // Solutions + afin d’accompagner les coopératives dans la mise en oeuvre de solutions concrétes en matiére d’efficacité énergétique.Ses objectifs ?<ul><li>Qualifier le profil et évaluer la performance énergétique de ses silos</li><li>Définir des indicateurs et des cibles de performance énergétique</li><li>Identifier les gisements de réduction de consommation</li><li>Mettre en œuvre simplement un plan d’investissement rentable en efficacité énergétique</li></ul>Et en pratique ?La formation ”Optimiser la performance énergétique dans ses silos” c’est :<ul><li>1 journée</li><li>Un consultant expert en performance énergétique LCA // Solutions +</li><li>Un mix théorie et mise en pratique immédiate</li></ul>Pour en savoir plus, c’est ici : <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/optimiser-la-performance-energetique-dans-ses-silos/">https://www.solutionsplus.coop/formation/optimiser-la-performance-energetique-dans-ses-silos/</a>

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Et si nous revenions sur votre parcours ?&nbsp;Si je devais résumer mon parcours en un mot, je dirais sans hésiter atypique. Je suis issue d’une famille d’agriculteurs en grande culture et élevage porcin. Mes parents sont d’ailleurs toujours en activité&nbsp;! J’ai donc pour ainsi dire toujours baigné dans le monde agricole. Mais j’ai mis un petit moment avant de passer, comme j’aime à le souligner, de «&nbsp;ce côté&nbsp;» de l’activité.Aprés un BTS en comptabilité et gestion et une année de finance, j’ai en effet commencé ma carriére en tant que comptable agricole. Et c’est seulement au bout de 10 années d’activité que j’ai décidé de sauter le pas&nbsp;: passer de l’autre côté&nbsp;!Pour cela, J’ai réalisé un Brevet Professionnel Responsable d’Entreprise Agricole (BPREA) avant de m’installer seule en 2010 puis d’opérer, en 2016, un rapprochement avec l’exploitation de mon mari.Mon terrain de jeu en quelques mots&nbsp;? Grandes cultures principalement – colza, blé dur, blé tendre, soja, maïs, sorgo, tournesol. Et j’ai également 2 poulaillers sous certification avicole CERTIPAC&nbsp;.Aujourd’hui, j’ai cette chance d’être administratrice et membre du bureau d’AXEREAL. Une responsabilité qui me permets de participer concrétement à la stratégie et l’évolution de la coopérative mais pas seulement. Cela représente aussi pour moi un enjeu d’écoute, d’échange et de pédagogie pour porter et expliquer les décisions sur le terrain. &nbsp;Mon parcours je l’aime tout particuliérement parce que l’histoire, je l’ai créée. J’ai choisi les étapes, j’ai fait les choses à ma maniére – que ce soit d’un point de vue de formation et de timing. Et le mieux dans tout ça&nbsp;? Tout ce que j’ai pu apprendre et entreprendre me nourrit encore aujourd’hui.<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_1_2_1536x597_0587741103.png" alt="Sans-titre-1-2-1536x597.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_1_2_1536x597_0587741103.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_1_2_1536x597_0587741103.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_1_2_1536x597_0587741103.png 750w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/large_Sans_titre_1_2_1536x597_0587741103.png 1000w," sizes="100vw">&nbsp;Quels sont les principaux défis qui vous animent ?Trés clairement que le métier d’agriculteur soit mieux vu, mieux compris, mieux abordé et mieux entendu. Et que mon outil de travail perdure dans le temps. Nourrir les gens, ce n’est pas rien. Ce que l’on fait est essentiel&nbsp;et incroyablement gratifiant.Mais pour se faire entendre de la bonne façon, il faut encore mieux maîtriser notre communication. J’en suis absolument convaincue&nbsp;! C’est pour cela que je n’hésite pas à donner de mon temps et de mon énergie au service de la communication externe. Il est primordial de transmettre cette image de l’agriculteur qui a toujours su s’adapter, qui suit le mouvement et qui est fier de ce qu’il fait !&nbsp;Et comment envisagez-vous la suite ?&nbsp;Aujourd’hui je suis administratrice et membre du bureau d’AXEREAL. C’est une trés grande opportunité et je remercie tous ceux qui m’ont permis d’accéder à ces fonctions. Je souhaite donc pouvoir renforcer cette action au sein de la gouvernance&nbsp;: continuer à partager mon expertise, mon expérience, mes remarques et venir nourrir la stratégie sur le long terme.Et bien-sûr, comme il m’est difficile de ne pas avoir plusieurs projets d’avance, vous vous doutez bien que j’en ai également pour mon exploitation (rires)&nbsp;!&nbsp;Venons-en à Sénéque. Quelles sont les raisons qui vous ont motivé à rejoindre le parcours ?J’ai toujours été convaincue que la formation devait occuper une place centrale dans mon quotidien professionnel en tant qu’Agricultrice et en tant Administratrice – Membre du Bureau d’AXEREAL.En 2018 j’ai eu la chance de suivre le parcours «&nbsp;Gouvernance et Stratégie des Coopératives&nbsp;» à Paris Dauphine. Cela m’a permis d’avoir une premiére vision globale et les premiéres clés pour investir mon rôle d’administratrice.Mais j’avais envie d’aller plus loin&nbsp;! M’ouvrir aux autres coopératives, me créer un réseau et compléter mes acquis précédents – leadership, communication, confiance en soi, prise de parole en public, enjeux sectoriels. Exactement ce que propose Sénéque. Donc j’ai foncé&nbsp;!&nbsp;Aprés trois modules au sein du parcours, quelles sont vos attentes par rapport à Sénéque ?C’est simple : continuer à être en attente de chaque prochain module (rires). Depuis le début de cette aventure – car c’est vraiment le bon terme pour définir Sénéque – je sais que je vais repartir avec des éléments nouveaux qui me font immédiatement avancer dans mon rôle. C’est super motivant&nbsp;!&nbsp;Si vous deviez définir sur la promotion des Sénéque 18 en 3 mots ?Professionnalisme, convivialité et bienveillance.&nbsp;Pourriez-vous nous évoquer votre meilleur moment depuis le début du parcours ?&nbsp;Un seul ?!!! (rires) C’est tellement difficile. Les modules d’Alessandro Biscaccianti (module conduite du changement, ndlr), de Michel Tavernier (module leadership et communication) et d’Alain Martel (module gouvernance) ont été trés marquants. Pour des raisons trés différentes mais ils trouvé un véritable écho au sein de l’ensemble de la promo.Et comment ne pas souligner LE déclic qu’a amorcé l’intervention d’Alessandro&nbsp;? Comprendre que le psychique est essentiel, qu’il faut prendre soin de soi en premier lieu pour aborder le reste sereinement. Une révélation&nbsp;: revenir à l’essentiel pour ne plus être dans la zone rouge&nbsp;; avoir un mental libre pour analyser correctement les sujets et rejoindre sa zone verte.&nbsp;Sa coopérative en bref…<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_3_1536x515_3dfe966da5.png" alt="Sans-titre-3-1536x515.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_3_1536x515_3dfe966da5.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_3_1536x515_3dfe966da5.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_3_1536x515_3dfe966da5.png 750w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/large_Sans_titre_3_1536x515_3dfe966da5.png 1000w," sizes="100vw">

Développée en partenariat avec l’ADEME, OptiSéchage est une solution d’enregistrement et d’analyse de l’efficacité énergétique du séchage du grain. Son objectif ? Améliorer la performance du séchage afin de permettre une réduction de la consommation de gaz et d’émissions associées, ainsi qu’une utilisation optimale des séchoirs.Le caractére innovant de cet outil est qu’il permet aux Organismes Stockeurs (OS) de disposer d’une solution simple permettant d’aider à la fois les opérateurs à optimiser les réglages des séchoirs au quotidien mais également les services centraux en leur fournissant des indicateurs sur l’ensemble des séchoirs.Avec OptiSéchage, LCA // Solutions + propose une solution adaptée pour permettre aux OS de disposer en temps réel d’indicateurs sur l’état du séchage de l’ensemble de leurs sites. L’intérêt ? La mise en place au bon moment des actions adaptées pour optimiser la performance du séchage aussi bien au niveau d’un séchoir (modifier les réglages pour accroître sa performance énergétique), qu’au niveau du parc global de séchoirs (décider quand allumer ou éteindre un séchoir pour favoriser la performance globale du parc en cours de fonctionnement).Un outil pensé par et pour les coopérativesSur le modéle d’OptiVentil (l’outil d’analyse du fonctionnement de la ventilation qui permet d’assurer une meilleure conservation du grain tout en réalisant des économies d’énergie, ndlr), les équipes de LCA // Solutions + privilégient, pour le développement d’OptiSéchage, une démarche de co-construction impliquant les coopératives.A ce titre, un comité de pilotage sera constitué avant l’été regroupant des coopératives utilisatrices, des experts LCA // Solutions + ainsi que des interlocuteurs spécialisés dans le développement de solutions logicielles. Son rôle ? S’assurer, chaque mois, de l’intégration, étape aprés étape, de l’ensemble des paramétres incontournables au déploiement optimal de cette nouvelle solution.Et concrétement, comment ça marche&nbsp;?OptiSéchage centralise les données sur le séchage et permet d’assurer le suivi de la performance énergétique du parc de séchoirs.Pour ce faire, cette solution innovante propose une interface de saisie permettant aux pilotes de séchoirs d’indiquer les principaux paramétres du séchage (caractéristiques du grain avant et aprés séchage, réglages du séchoir, nombre d’heures de fonctionnement, consommation de gaz...). Une fois ces données exploitées et analysées, la solution délivre les indicateurs et les recommandations précises concernant le pilotage du séchoir, son efficacité et les potentielles dérives identifiées.Par conséquent, OptiSéchage se substitue parfaitement au cahier de séchage manuscrit. Mais la solution va beaucoup plus loin ! Véritable tableau de bord, elle propose aux OS une vision globale et précise de la performance énergétique en temps réel ainsi que des indicateurs connexes essentiels à un suivi adapté (temps de fonctionnement journalier, capacité de stockage en attente...).&nbsp;En exclusivité, les premiers écrans de OptiSéchage...Fiche d’identité du séchoir<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_6ae33b783d.png" alt="Sans-titre.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_6ae33b783d.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_6ae33b783d.png 500w," sizes="100vw">Synthése<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_1_7754ae60d4.png" alt="Sans-titre-1.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_1_7754ae60d4.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_1_7754ae60d4.png 500w," sizes="100vw">Ecran de saisie<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_2_7eaadd7154.png" alt="Sans-titre-2.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_2_7eaadd7154.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_2_7eaadd7154.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_2_7eaadd7154.png 750w," sizes="100vw">Pour plus d’informations sur notre outil OptiSéchage , contactez : <a href="mailto:sbeau@solutionsplus.coop">sbeau@solutionsplus.coop</a> ou&nbsp; <a href="mailto:dsalardaine@solutionsplus.coop">dsalardaine@solutionsplus.coop</a>

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Qualiopi : la certification qui intégre la question du handicapSésame pour l’ensemble des acteurs du monde de la formation, Qualiopi est LA certification qualité obligatoire depuis janvier 2021. Elle constitue également une avancée majeure dans le secteur puisqu’elle intégre la question du handicap : “Qualiopi, ça ne se résume pas simplement à des critéres ou à des grands indicateurs. C’est surtout le premier référentiel à se soucier de l’intégration des Personnes en Situation de Handicap (PSH) ”.En tant qu’organisme de formation, LCA // Solutions + est naturellement certifié Qualiopi. “Notre démarche en matiére de gestion du handicap en formation était déjà trés aboutie. Le référentiel Qualiopi a donc surtout consisté en la concrétisation formelle des actions qui étaient déjà déployées. Aujourd’hui, nos engagements sont clairs, intégrés par les équipes mais également partagés et communiqués à l’ensemble de nos parties prenantes” (voir encart ci-dessous).<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_1_650x389_3872bcfef0.png" alt="Sans-titre-1-650x389.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_1_650x389_3872bcfef0.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_1_650x389_3872bcfef0.png 500w," sizes="100vw">En tant que référente handicap, Julie s’assure du respect systématique des critéres du référentiel. Mais son action ne s’arrête pas là. Car quand il est question de gestion du handicap, il convient d’accompagner de la façon la plus adaptée l’ensemble des parties prenantes.&nbsp;Sensibiliser aux grands principesParmi les critéres intégrés au référentiel Qualiopi, la qualification et le développement des connaissances et compétences des personnels chargés de mettre en oeuvre les prestations de formation constitue un enjeu prioritaire.Pour y répondre de façon pertinente, LCA // Solutions + détermine, mobilise et évalue les compétences des différents intervenants internes et externes. L’objectif ? S’assurer que les prestations seront adaptées à tous les publics. “Concrétement, cela passe par une sensibilisation réguliére à la question du handicap”.Et en matiére de sensibilisation, c’est tout d’abord le cadre légal qu’il convient de connaître :<ul><li>On ne demande pas la nature de son handicap à une personne qui se déclare comme telle</li><li>On lui demande quelles sont les compensations raisonnables dont elle a besoin pour suivre la formation et on la prévient de l’action à venir</li><li>On alerte l’organisme de formation qui, en accord avec le participant, préviendra le Responsable Formation de son entreprise</li><li>Enfin, on décide ensemble d’une solution</li></ul>Mais si elle est incontournable, cette sensibilisation s’avére toutefois souvent insuffisante et requiert un accompagnement plus abouti. Une réalité bien connue et parfaitement intégrée dans les initiatives de LCA // Solutions +.&nbsp;Proposer un accompagnement privilégié“Le Café Visio des Formateurs, le rendez-vous trimestriel incontournable de la communauté de nos formateurs, est un bel exemple de cet accompagnement plus abouti”. En effet, au-delà de la sensibilisation réglementaire, ce moment privilégié made in LCA // Solutions + favorise les échanges et le partage d’expériences : montée en compétences collective sur la question de la gestion du handicap garantie !Et si la situation le nécessite, l’accompagnement privilégié prend une forme beaucoup plus sur-mesure. “En tant que référente handicap, je me tiens naturellement à la disposition des formateurs dés qu’ils ont une question ou une situation concréte à partager. J’ai tout récemment accompagné un formateur qui devait coacher un stagiaire portant un handicap visible qu’il cherchait à cacher. Une situation délicate qui constituait un blocage à la bonne conduite de la prestation. Je lui ai indiqué la démarche à mettre en œuvre ce qui a permis de débloquer la suite du coaching”.&nbsp;Qu’il soit collectif ou individuel, l’accompagnement proposé par LCA // Solutions + autour de la question de la gestion du handicap en formation est un axe prioritaire. “L’accompagnement que nous déployons auprés de nos parties prenantes est primordial. Le jour J, si un de nos formateurs réalise qu’il a un apprenant qui porte un handicap, il est essentiel qu’il puisse réagir correctement et s’adapter rapidement&nbsp;».

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Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vous&nbsp;et sur votre parcours ?Je suis DRH de l’UES Terrena, qui regroupe 2&nbsp;600 salariés et dont la maison mére est la Coopérative TERRENA.Au sein de la Coopération Agricole, je suis membre de la Commission sociale des métiers du grain et de la commission interbranches. J’exerce également un mandat d’administrateur au sein du groupe de protection sociale AGRICA.Aprés un Master en gestion industrielle et innovation à l’INSA de Strasbourg, j’ai effectué mes premiers pas dans le monde industriel chez Alcatel Business System, au sein de l’unité de fabrication de circuits imprimés&nbsp;: des débuts trés formateurs puisqu’il m’a rapidement fallu assurer le management des équipes, le directeur de production ayant changé de fonction au cours de mon stage.&nbsp; C’est ce qu’on appelle, je crois, être vite mise dans le bain&nbsp;!A l’issue de mon stage, je poursuis mon parcours chez Alcatel&nbsp;: de l’usine, je passe aux métiers de la logistique puis au contrôle de gestion industriel.Puis changement de cap : aprés 7 ans en Alsace, nous décidons de quitter l’Est direction le Grand Ouest, et choisissons de nous installer dans la région d’Angers. Un moment particuliérement charniére pour moi&nbsp;puisque c’est celui du choix coopératif et de la rencontre avec Terrena. Parce qu’avec Terrena, c’est une véritable rencontre&nbsp;: dés mon premier entretien, je me suis sentie accueillie et intégrée. On s’est intéressé à mon profil malgré ma méconnaissance du secteur agricole, on a pris le temps d’échanger sur mes aspirations et on a évoqué de vraies perspectives. En tant que DRH, je garde ces premiers instants en tête&nbsp;: plus qu’un poste, l’enjeu est d’offrir au futur candidat un vrai parcours de vie professionnelle. Et c’est mon cas chez Terrena depuis le début&nbsp;: aprés le service Organisation &amp; Méthodes, j’ai été responsable du service informatique. Par la suite, j’ai piloté le projet de fusion des 3 Coopératives qui ont créé Terrena, avant de rejoindre les ressources humaines. &nbsp;Depuis une quinzaine d’années maintenant, je suis la DRH de l’UES TERRENA. Je considére que c’est une grande chance d’exercer ce métier dans une Coopérative avec des vraies valeurs.&nbsp;Quels sont les grands enseignements que vous tirez de votre parcours ?Mon parcours chez Terrena est marqué par la confiance, l’envie, le mouvement. A chaque changement de métier, j’avais tout à apprendre. J’ai souhaité ces changements, ça redonne du punch, de la motivation. J’ai beaucoup changé de métier depuis le début de mon parcours professionnel et chez Terrena, c’est une chance de pouvoir changer de métier en restant dans le même Groupe. Et j’en ai retiré une conviction forte&nbsp;: tout s’apprend, avec l’énergie et la motivation.Autre conviction, acquise lors de mes fonctions opérationnelles&nbsp;: le rôle des&nbsp; fonctions support c’est de « supporter&nbsp;» les métiers, apporter de la valeur ajoutée au service du développement, de la stratégie métier.&nbsp; Les fonctions support doivent contribuer à définir, puis s’approprier la stratégie afin d’apporter les solutions les plus pertinentes au développement des métiers.&nbsp;Vous évoquez le choix coopératif. Quelles sont justement les motivations qui vont ont poussé à choisir la coopération ?J’ai tout de suite été convaincue par le modéle&nbsp;: un systéme de gouvernance au plus prés du terrain, un vrai sens du collectif et plus que tout, une âme. On sait pourquoi on se léve le matin. Les défis que nous relevons sont au service d’hommes et de femmes qui font notre territoire&nbsp;: il y a un vrai sens et une grande humanité à tout ce que nous entreprenons.&nbsp;Quand je vous dis LCA // Solutions&nbsp;+ ?Quand il s’agit de LCA // Solutions +, deux notions me viennent conjointement en tête&nbsp;: performance industrielle et formation. C’est d’ailleurs par le prisme de la performance industrielle et du logiciel OptiFlux que j’ai commencé à collaborer avec eux alors que j’étais en charge de l’informatique. Côté formation, des collaborateurs RH ont suivi le parcours droit social mais je soulignerais surtout l’action que nous menons ensemble sur le CQP Agent de Silo. Avec déjà 6 promotions, ce sont 60 collaborateurs TERRENA de l’activité Métiers du grain qui ont validé une formation d’une douzaine de modules organisée sur prés de 18 mois et une vingtaine de jours.&nbsp; C’est une trés belle réussite, qui permet à nos conducteurs de silo de parfaire leurs compétences métiers et sécurité sans oublier leurs compétences relationnelles avec nos adhérents.LCA // Solutions + est pour moi un partenaire qui a parfaitement intégré cette problématique des fonctions supports au service des métiers&nbsp;: d’un point de vue outils tout d’abord, en déployant les solutions techniques qui répondent aux enjeux du terrain et d’un point de vue formation ensuite, en assurant une montée en compétences en adéquation avec les besoins opérationnels.&nbsp;Selon vous, quels sont les principaux points positifs de l’offre déployée par LCA // Solutions&nbsp;+ ?Un point incontournable&nbsp;selon moi&nbsp;: on s’adresse à des gens qui connaissent nos métiers. Par conséquent, l’offre est adaptée à nos besoins et à nos contraintes. Ils comprennent les enjeux des coopératives agricoles et savent comment les accompagner (de la gamme des Optis à leur catalogue de formations). C’est une trés grande force qui justifie le partenariat qui s’est installé sur le long terme&nbsp;: une relation de confiance et non une relation purement commerciale.&nbsp;Et si vous deviez qualifier ce partenariat en 3 mots ?Durable tout d’abord&nbsp;: notre relation s’inscrit dans la durée, d’OptiFlux au CQP en passant par le droit social. Collaboratif ensuite&nbsp;: on construit ensemble. Et enfin, efficace&nbsp;: on se comprend immédiatement de part et d’autre. C’est pertinent et on gagne beaucoup de temps. C’est trés précieux&nbsp;!&nbsp;Et comment voyez-vous la suite ?Nous devons répondre à deux enjeux majeurs&nbsp;: l’attractivité de nos entreprises et l’accompagnement de la transformation des métiers, avec la montée en puissance du digital notamment. Par le développement de solutions innovantes, par exemple la réalité virtuelle, LCA // Solutions + doit nous permettre non seulement d’afficher une image moderne de l’agriculture pour les jeunes générations mais également de progresser encore dans les solutions de montée en compétence pour nos collaborateurs. Les solutions de réalité virtuelle nous permettent non seulement de gagner un temps précieux, mais surtout de pouvoir simuler des situations complexes à reproduire dans la réalité.Dans le domaine de la sécurité par exemple, c’est une technologie trés intéressante de prévention des risques, avec la possibilité d’avoir des outils immersifs qui reproduisent fidélement l’environnement de travail.

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Et si nous revenions sur votre parcours ?&nbsp;Mon parcours, c’est l’histoire d’un exploitant laitier bio devenu administrateur de coopérative parce qu’il s’est pris au jeu et à la dynamique de la coopération agricole. Un parcours qui n’était pas du tout prévu – je ne connaissais rien à la coopération lorsque j’ai débuté – mais je dois avouer que c’est aussi cela qui le rend unique ! Il est une belle illustration de toute la richesse de la coopération.Mon BAC Pro agricole en poche, j’ai lancé mon exploitation en 2004. Dés 2005, j’ai souhaité rejoindre la coopérative laitiére régionale qui fusionnera 2 ans aprés avec Sodiaal. Mon engagement s’est alors fait croissant&nbsp;: en 2010, j’intégre tout d’abord le conseil de région Sud-Est de Sodiaal. Je rejoins ensuite le pôle sociétaire en 2013 pour finalement intégrer, en 2016, le conseil d’administration de Sodiaal.La prise de responsabilités est une chose, la capacité à les tenir en est une autre. N’ayant pas du tout le profil d’administrateur à la base, j’ai toujours mis un point d’honneur à être à la hauteur des enjeux que mes différents engagements m’imposaient. Et c’est par la formation – qui a marqué de façon continue mon parcours – que j’ai acquis les bonnes compétences.<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_1536x564_b0b66fda55.png" alt="Sans-titre-1536x564.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_1536x564_b0b66fda55.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_1536x564_b0b66fda55.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_1536x564_b0b66fda55.png 750w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/large_Sans_titre_1536x564_b0b66fda55.png 1000w," sizes="100vw">Quels sont les principaux défis qui vous animent ?Sans hésiter : défendre notre agriculture française. Des exploitations familiales nombreuses, des territoires d’une richesse et d’une diversité incroyables, une production de qualité au service d’une gastronomie reconnue. Si je peux œuvrer à la défense de toute cette richesse et de toutes ces spécificités, j’aurais atteint une grande partie de mes objectifs&nbsp;!&nbsp;&nbsp;Et comment envisagez-vous la suite ?&nbsp;Grâce à Sénéque, je me projette déjà sur l’aprés. Et ce qui est clair pour moi, c’est que je souhaite vivement aller encore plus loin dans l’engagement que j’ai dans la coopérative. Cela ne signifie pas forcément que j’ai des objectifs en tête en termes de niveau de responsabilité. Je dirais que cela se joue plutôt autour de mon accomplissement complet dans le rôle que je tiens actuellement.&nbsp;Venons-en justement à Sénéque. Quelles sont les raisons qui vous ont motivé à rejoindre le parcours ?Deux raisons me viennent immédiatement à l’esprit&nbsp;: l’évidence tout d’abord. Il m’a semblé en effet essentiel de venir acquérir les compétences que mon rôle d’administrateur de coopérative implique.Et ensuite, c’est surtout l’envie assortie d’une trés forte curiosité. Chaque année, un administrateur de Sodiaal intégre le parcours Sénéque. Le constat est systématiquement le même&nbsp;: une véritable métamorphose qui se traduit par une vision et une façon d’aborder son rôle trés différentes. Un tel impact, ça aiguise naturellement la curiosité. Et en ce qui me concerne, cela a même constitué un élément moteur dans ma décision de rejoindre le programme.&nbsp;Aprés trois modules au sein du parcours, quelles sont vos attentes par rapport à Sénéque ?Elles sont assez simples finalement : améliorer mes compétences tout en ouvrant mon réseau de connaissances. Au sein de la promotion, on a la chance d’avoir des niveaux de responsabilités trés similaires et de pouvoir ainsi partager sur nos problématiques. Sénéque, c’est un lieu d’échanges unique qui participe activement à notre évolution. Car j’en suis convaincu&nbsp;: plus on s’ouvre à l’extérieur et plus on est capable de relever la tête du guidon et de prendre de la hauteur. Une prise de hauteur essentielle à nos fonctions.&nbsp;Si vous deviez définir sur la promotion des Sénéque 18 en 3 mots?Cohésion, dynamisme et convivialité. Mais pour la convivialité, on doit vous le dire à chaque fois, non ?&nbsp;Et pour finir, pourriez-vous nous évoquer votre meilleur moment depuis le début du parcours ?&nbsp;Eh bien aprés seulement 3 modules, c’est déjà difficile de ne retenir qu’un seul meilleur moment. Je dirais l’exercice de lancement du parcours tout d’abord&nbsp;: j’ai trouvé cette entrée en matiére géniale&nbsp;! Ca a immédiatement fait sauter les verrous. La cohésion au sein de la promotion n’en a été que plus rapide. &nbsp;Sur un plan trés différent, mais tout aussi mémorable&nbsp;: le module animé par Alessandro BISCACCIANTI (Ingénieur-architecte, titulaire d’un MBA et d’un DBA, il accompagne les Dirigeants et les Comités Exécutifs dans la réflexion et la mise en œuvre d’actions de transformation stratégique et managériale, ndlr). Je devrais d’ailleurs plutôt parler de performance&nbsp;! Un moment édifiant qui a marqué l’ensemble de la promotion.Et enfin, tous les moments de convivialité&nbsp;: Sénéque ça se passe pendant les modules mais aussi en dehors.&nbsp;Sa coopérative en bref…<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_1_1536x442_f9a185e5b0.png" alt="Sans-titre-1-1536x442.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_1_1536x442_f9a185e5b0.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_1_1536x442_f9a185e5b0.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_1_1536x442_f9a185e5b0.png 750w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/large_Sans_titre_1_1536x442_f9a185e5b0.png 1000w," sizes="100vw">

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Et si nous revenions sur votre parcours ?&nbsp;S’il y a bien une chose qui a marqué mon parcours jusqu’ici c’est que j’ai toujours su que je souhaitais reprendre l’exploitation familiale. Cela a constitué le fil conducteur qui a motivé mes différents choix année aprés année.Diplômé de l’école ENSAIA (Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie et des Industries Alimentaires) de Nancy j’ai fait mes premiéres armes au sein du Groupe Soufflet à Nogent-sur-Seine : aprés 6 mois passé en pépiniére à différents postes, j’ai ensuite intégré la cellule vente collecte. J’y suis resté de 1998 à 2005. En 2005, changement de cap : je rejoins la SCARA en tant que responsable commercial.&nbsp; Une situation idéale : la coopérative étant juste à côté de mon exploitation, j’ai&nbsp;ainsi la possibilité de concilier mes deux activités. 2011, nouveau changement !Mon pére partant à la retraite et les marchés étant en pleine évolution, il m’a semblé de plus en plus difficile de maintenir ma double activité : il a fallu faire un choix et j’ai naturellement fait celui de mon exploitation. En revanche, il était primordial pour moi de conserver une véritable ouverture d’esprit.C’est pour cette raison que j’ai souhaité prendre des responsabilités au sein des coopératives avec lesquelles je collaborais : je suis ainsi devenu administrateur au sein de Capdea puis délégué de section chez Cristal Union.Aujourd’hui, je suis administrateur et membre du bureau&nbsp;de la section d’Arcis au sein de la coopérative Cristal Union et je peux dire que je me sens épanoui dans l’équilibre que j’ai réussi à mettre en place.<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_4_1_1536x611_4be9b2155f.png" alt="Sans-titre-4-1-1536x611.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_4_1_1536x611_4be9b2155f.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_4_1_1536x611_4be9b2155f.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_4_1_1536x611_4be9b2155f.png 750w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/large_Sans_titre_4_1_1536x611_4be9b2155f.png 1000w," sizes="100vw">Quels sont les principaux défis qui vous animent ?Que ce soit en tant qu’agriculteur ou administrateur, l’enjeu est clair : évoluer au mieux pour répondre aux défis de la société. Nourrir le monde tout en préservant les sols, intégrer les problématiques de transition énergétique à nos modes de production, répondre de façon pertinente aux attentes du marché sont autant de challenges auxquels je souhaite répondre au quotidien.&nbsp;Et comment envisagez-vous la suite ?&nbsp;Je souhaite vivement poursuivre ma prise de responsabilités au sein de la section d’Arcis et du Conseil d’Administration de Cristal Union. J’y trouve un équilibre parfait : c’est valorisant d’une part, mais c’est surtout trés motivant de répondre à de telles fonctions et de participer à la gouvernance d’une coopérative comme Cristal Union.&nbsp;&nbsp;Venons-en maintenant à Sénéque. Quelles sont les raisons qui vous ont motivé à rejoindre le parcours ?C’est Cristal Union qui m’a tout d’abord proposé de rejoindre l’aventure Sénéque. En échangeant avec des collégues administrateurs ayant réalisé le parcours, ma curiosité a été piquée au vif : chacun évoquait un parcours formateur, intéressant et trés enrichissant sans trop rentrer dans les détails toutefois. La raison évoquée par tous ? Sénéque, ça se vit de l’intérieur. J’ai foncé !Et je ne regrette pas une seule seconde : certes, cela représente un vrai investissement personnel en termes d’organisation notamment, mais on ne voit pas passer le temps. L’encadrement, les sujets abordés, la qualité des intervenants, la promotion en elle-même sont autant d’éléments ultra motivants qui me confirment dans ma démarche.&nbsp;Aprés deux modules au sein du parcours, quelles sont vos attentes par rapport à Sénéque ?Trés clairement, être apte à prendre plus de responsabilités dans mes fonctions au sein de la coopérative. Cela passe par plusieurs choses. Tout d’abord, une meilleure compréhension de qui je suis et de comment je fonctionne. Ensuite, une parfaite vision du fonctionnement des coopératives en allant au-delà de notre propre contexte. Et enfin, une véritable maîtrise de l’exercice de prise de parole et une bonne gestion des conflits.&nbsp;Si vous deviez définir sur la promotion des Sénéque 18 en 3 mots?Sympathie, bienveillance et application. Mais j’en rajouterais forcément un quatriéme : convivialité. En intégrant cette formation, on a la chance de multiplier les échanges enrichissants avec des personnes de profils et de contextes différents. C’est une façon trés naturelle de se construire un réseau.&nbsp;Et pour finir, pourriez-vous nous évoquer votre meilleur moment depuis le début du parcours ?&nbsp;Sans hésitation la présentation des 2 coopératives – Advitam Performance et Cristal Union – à laquelle j’ai participé lors du dernier module. Du professionnalisme, de la création de lien, de l’ouverture et de la convivialité... un mélange enthousiasmant !&nbsp;Sa coopérative, en bref...<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Sans_titre_5_1536x297_676aa03b53.png" alt="Sans-titre-5-1536x297.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Sans_titre_5_1536x297_676aa03b53.png 245w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Sans_titre_5_1536x297_676aa03b53.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Sans_titre_5_1536x297_676aa03b53.png 750w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/large_Sans_titre_5_1536x297_676aa03b53.png 1000w," sizes="100vw">Retrouvez un nouveau Portrait de Sénéque dés le mois prochain...

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LCA // Solutions + se mobilise pour accompagner les coopératives dans la diminution de leur consommation d’énergie. Quelles sont les raisons qui vous ont amené à lancer une telle démarche ?Nous avons été amenés, ces 3 derniéres années, à réaliser plus d’une centaine d’audits énergétiques réglementaires de silos de stockage de céréales sur l’ensemble du territoire français. De cette période – formidable opportunité d’approfondissement de notre connaissance terrain – nous retirons une conviction majeure : des économies de 10% à 20% sont possibles sur les consommations d’énergie. Des mesures telles que l’optimisation des talons de consommations ou de meilleur pilotage des équipements ne nécessitent pas d’investissements particuliers et sont déployables dés la prochaine moisson. D’autres mesures peuvent demander des investissements dont les ROI, de maniére générale, sont de l’ordre de 2 ans sans prendre en compte l’augmentation du coût de l’énergie.&nbsp;Quelles sont, d’aprés votre expérience, les leviers d’actions principaux ?Le séchage et la ventilation du grain, les deux postes de consommation les plus importants. Notre constat : un grand nombre d’actions nécessite peu d’investissement matériel. En revanche, il est primordial d’accompagner les modifications de pratiques en favorisant notamment une bonne formation du personnel au pilotage d’un site de stockage de céréales.&nbsp;Le déploiement de la gamme des “Opti” – et plus particuliérement OptiVentil et OptiSéchage – est un des piliers majeurs du dispositif que vous mettez dés à présent à disposition des coopératives. Pourriez-vous nous en dire un peu plus ?En premier lieu, il est essentiel de souligner que la gamme des “Opti” se construit autour d’un enjeu fort : répondre à la réalité opérationnelle et à la maturité technologique de chaque coopérative avec une approche graduelle et modulable.Au sein de cette gamme, OptiVentil et Optiséchage sont les 2 solutions dédiées au pilotage de la performance énergétique. OptiVentil tout d’abord, est un outil d’analyse du fonctionnement de la ventilation qui permet d’assurer une meilleure conservation du grain tout en réalisant des économies d’énergie. OptiSéchage, quant à lui, centralise les données sur le séchage et permet d’assurer le suivi de la performance énergétique du parc de séchoirs.Nous avons pensé ces solutions pour qu’elles soient communicantes et facilement interfaçables aux équipements existants. L’intérêt ? Elles ne nécessitent aucun investissement matériel et sont déployables dés la prochaine moisson.A ce jour, une dizaine de coopératives les ont déjà déployées, soit un total de plus d’une centaine de sites équipés.&nbsp;Mais votre dispositif ne se résume pas uniquement à la gamme des “Opti” ?En plus de ces solutions logicielles métiers, nous proposons des audits et du conseil favorisant la mise en œuvre des démarches d’optimisation. A cela s’ajoute également un dispositif de formation complet qui permet d’accompagner les opérateurs.Au-delà des outils et méthodes et dans notre mission d’union de coopératives, nous animons une action collective pérenne sur cet enjeu. Notre démarche est donc plus globale.Tout d’abord, LCA // Solutions + dispose d’un partenariat de long terme avec l’ADEME, qui finance plusieurs projets opérationnels sur ces problématiques à destination des coopératives.Ensuite, nous mettons à la disposition du plus grand nombre un livre blanc synthétisant les principales conclusions de nos 3 années d’audit : structure globale de la consommation énergétique des silos de stockage, indicateurs de performance énergétique pertinents à suivre, principales actions d’économies d’énergie envisageables et indication sur le temps du retour sur investissement et du niveau d’économie attendu.Enfin, afin de nous adresser au plus grand nombre, nous proposerons avant la récolte 2022 deux webinaires d’information sur l’optimisation de la ventilation et du séchage des grains.

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Un parcours rythmé par les formationsFraîchement diplômé de l’école Tecomah (Ecole de l’Environnement et du Cadre de Vie) dans laquelle il suit le parcours responsable commercial agro-fournitures, Aurélien Caurier fait ses premiéres armes au sein de la coopérative Épicentre (devenue Axereal, ndlr). Il y occupe un poste de technico-commercial pendant prés de 2 ans avant de rejoindre, aux mêmes fonctions, la coopérative Sevepi en 2008. En 2010, il évolue au poste de chef de région, poste qu’il occupera pendant prés de 7 ans avant de prendre la tête, en 2017, de la Direction Commerciale de la coopérative. Un challenge particuliérement riche puisqu’il y sera notamment en charge des approvisionnements, de la politique de collecte adhérents, du management des équipes terrain et du service OAD. En 2020, il devient Directeur Général de Sevepi.&nbsp;Lorsqu’il revient sur son parcours, Aurélien Caurier évoque spontanément les formations qui l’ont rythmé. «&nbsp;J’ai eu l’opportunité de faire des formations qui m’ont permis d’accéder à ces postes&nbsp;». Parmi elles, il retient tout particuliérement AgroManager et Aristée.&nbsp;Les premiers pas de manager...C’est en 2014 qu’il rejoint l’aventure AgroManager. Il est tout de suite convaincu par le parcours&nbsp;: l’accés à des compétences essentielles – management, droit du travail, RH, gestion de projet – l’esprit de promotion ultra stimulant, les intervenants ainsi que les nombreux échanges entre pairs sont autant de points forts qui lui reviennent immédiatement en tête. «&nbsp;AgroManager m’a donné de trés bonnes bases sur des aspects de management général. Cela m’a permis de franchir un cap et d’être justement capable de diriger un service&nbsp;».Autres forces d’AgroManager&nbsp;: le partage d’expériences et l’ouverture d’esprit. Se nourrir des situations concrétes des autres membres de la promotion constitue pour lui «&nbsp;un apport essentiel à réinjecter dans notre quotidien&nbsp;».&nbsp;Un cran plus loinEn 2019, fort de son expérience AgroManager, il accepte tout naturellement de rejoindre Aristée lorsque son Président le lui propose. Un parcours qui le marque à plus d’un titre.L’organisation et l’engagement personnels tout d’abord – «&nbsp;on est dans des fonctions trés prenantes&nbsp;: on doit suivre le rythme de la formation, aller à Paris réguliérement et continuer tout de même à assurer le quotidien&nbsp;».La force du réseau ensuite, favorisée selon lui par le projet stratégique de groupe – «&nbsp;des liens forts qui le sont restés par la suite&nbsp;».Enfin, l’occasion d’aller un cran plus loin en abordant des thématiques trés spécifiques&nbsp;: finance, management de gestion de crise...&nbsp;La montée en compétences&nbsp;: une conviction personnelle, un enjeu collectifDe ce cheminement personnel, Aurélien Caurier tire une conviction profonde&nbsp;: la formation est au cœur de l’évolution professionnelle. « On a tous des qualités de par notre formation de base mais il faut aller approfondir là où on est moins bon. C’est un passage obligé, un engagement pour qui veut se donner les moyens de suivre l’évolution permanente des métiers ».&nbsp;A ce titre, il sensibilise et incite fortement ses collaborateurs à se former.&nbsp;Un partenaire engagé aux côtés des coopérativesAu cœur de cette initiative, il apprécie pouvoir s’appuyer sur l’expertise de LCA // Solutions +. Un partenariat qui s’inscrit dans la durée et qui lui assure un accompagnement de qualité sur les problématiques de montée en compétences de Sevepi. «&nbsp;Leurs formations sont formidablement adaptées car elles sont trés liées au métier&nbsp;: on a naturellement envie de se tourner vers eux&nbsp;»Pour la suite, il évoque le déploiement du parcours exclusif AgroTC au sein de ses équipes dans les prochains mois. Et pour lui&nbsp;? De nouveaux parcours pour répondre aux enjeux de sa fonction et du secteur. «&nbsp;La formation est au cœur de la progression que j’ai eue. A 36 ans, j’aurai encore à me former, c’est certain&nbsp;»

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<figure class="image image-style-side image_resized" style="width:24.02%;"><img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/Bellenous_1_650x778_a866d6cfd0.jpeg" alt="Bellenous-1-650x778.jpeg" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_Bellenous_1_650x778_a866d6cfd0.jpeg 130w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_Bellenous_1_650x778_a866d6cfd0.jpeg 418w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_Bellenous_1_650x778_a866d6cfd0.jpeg 627w," sizes="100vw"></figure>En début de carriére, Ludovic Bellenous explore divers secteurs grâce à l’intérim. Parmi ses missions de prédilection, l’informatique et l’agriculture se disputent la premiére place. C’est finalement l’agriculture qu’il choisit au sein de la coopérative CAVAL, devenue Terrena. Aprés plusieurs contrats saisonniers, il est embauché comme chef de silo en 2007 dans le Saumurois puis prend la responsabilité de deux silos dans ce même secteur. En 2015, ses compétences sont d’ailleurs validées et approfondies par le CQP agent de silo et depuis 2018, il occupe un poste de manageur de proximité en tant que responsable de périmétre céréales. Il encadre et anime désormais les équipes des cinq silos du Saumurois, soit au total sept permanents et une vingtaine de saisonniers. Dans ce secteur où le maïs est traditionnellement trés présent, tous les silos sont sécheurs.&nbsp;Conjuguer informatique et agricultureMais cette carriére au sein de la coopérative ne l’empêche pas, bien au contraire, de cultiver son goût pour l’informatique et les nouvelles technologies. C’est même naturellement qu’il utilise l’informatique pour l’aider au quotidien dans la gestion des silos. Grâce à sa maîtrise avancée d’Excel, il développe des outils pour optimiser le séchage mais aussi la gestion des stocks ou encore les plannings. «&nbsp;Je les ai conçus pour qu’ils me facilitent le quotidien. Sur le coup, j’y ai passé de trés nombreuses heures, quand on est passionné, on ne compte pas...mais ensuite cela m’a fait gagner du temps. Cela a ensuite été facile de les partager avec les autres opérateurs de mon secteur qui ont rapidement vu leur utilité&nbsp;», explique-t-il, estimant qu’un OAD* est adopté s’il répond avant tout à une problématique des opérateurs.&nbsp;Améliorer le quotidien et les performances«&nbsp;Pour autant ces outils, conçus pour être utile au quotidien, répondent dans le même temps aux objectifs de la coopérative d’amélioration des performances économiques et environnementales&nbsp;», précise le responsable. Sur son secteur, ils ont contribué à l’arrêt des insecticides au stockage grâce à un suivi précis de la ventilation.Fort de cette expérience, Ludovic Bellenous a donc rejoint dés le début le comité de pilotage d’Optisilo. «&nbsp;Je suis convaincu que la solution Optisilo permettra des gains de performance et une réduction de la facture énergétique&nbsp;», explique-t-il, constatant que le réflexe est souvent de sur-ventiler pour ne pas prendre de risque pour la qualité.&nbsp;Utilisateur clef Optisilo«&nbsp;Optisilo permet de rassurer les opérateurs et de ne pas aller au-delà du nécessaire. Pour les managers, ce sera aussi la possibilité d’avoir une vision globale de ce qui se passe sur leurs sites. De plus, cet outil devrait permettre de repérer les dérives énergétiques et donc d’améliorer les équipements&nbsp;» poursuit-il.Au cours de la derniére campagne, Optisilo a été déployé sur l’ensemble des sites de Terrena et 54 opérateurs ont pris en main l’outil. Ludovic Bellenous a été nommé utilisateur clef pour organiser les remontées du terrain. «&nbsp;Tout n’a pas été simple, surtout dans le contexte complexe de cette collecte, mais il me semble que beaucoup perçoivent l’utilité de cet outil&nbsp;», observe-t-il, confiant dans l’avenir de cette solution.&nbsp;*Outils d’aide à la décision&nbsp;Pour en savoir plus sur Optisilo, contactez David Salardaine (dsalardaine@solutionsplus.coop)&nbsp;

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Qui êtes-vous et quel est votre parcours ?A la suite d’un parcours d’Ingénieur-Docteur (énergétique et génie des procédés) et d’une premiére expérience de recherche universitaire sur le stockage géologique du dioxyde de carbone et son impact sur les roches sédimentaires, j’ai rejoint l’ADEME en 2011.Mes premiéres missions ont porté, au sein de la Direction Recherche, sur la construction et l’animation d’un programme de recherche sur le volet Energie (énergies renouvelables, stockage de l’énergie, planification énergétique) et mobilisant des acteurs publics et privés. En complément, j’ai assuré l’animation et la coordination du pôle en charge du programme de formation par la recherche.Depuis 2018, j’ai rejoint la direction Bioéconomie afin de suivre les projets de conception d’outils et de services innovants pour les systémes agricoles (programme des Investissements d’Avenir) et animer la thématique énergie – développement des énergies renouvelables et efficacité énergétique – pour l’agriculture.&nbsp;Selon vous, quels sont les enjeux de la filiére métier du grain d’un point de vue énergétique ?Les nombreuses études menées sur la filiére métier du grain ont toutes souligné l’importance du coût énergétique des étapes de production, de stockage, de conservation et de distribution du grain.Il semble donc essentiel de travailler, avec les acteurs pertinents que sont les coopératives agricoles notamment, sur ces différentes étapes et sur les actions d’optimisation qu’il convient d’engager.Le travail se concentre sur deux axes prioritaires&nbsp;:<ol><li>La réduction de la consommation énergétique</li><li>Et l’introduction d’autres systémes de production énergétique – énergies renouvelables ou récupération d’énergie fatale – pour assurer une production la plus vertueuse possible</li></ol>&nbsp;En quoi la gamme des Optis développée par LCA // Solutions + constitue-t-elle selon vous une réponse pertinente à ces enjeux ?Tout d’abord parce que c’est une gamme compléte : elle s’intéresse aussi bien aux questions de flux des champs aux silos, à ce qui se passe au sein des silos-mêmes mais aussi aux problématiques de commercialisation et de vente du grain.Ensuite, ce qui est particuliérement pertinent, c’est que cette gamme propose des outils qui allient simplicité d’utilisation, rapidité d’appropriation et grande opérationnalité&nbsp;: trois atouts essentiels pour des acteurs qui ne sont pas forcément au fait de ce qui se passe dans leur systéme.Ce sont des solutions au plus proche du métier, au plus proche des opérateurs, qui permettent une identification quasi immédiate des axes d’amélioration et des principales actions d’optimisation.En proposant une série d’outils qui viennent s’accoler les uns aux autres – chaque Opti vient traiter une problématique spécifique et apporte un diagnostic ou une réponse précise à cette problématique – la gamme des Optis offre donc une vision globale des actions d’amélioration qu’il convient de déployer sur les étapes de production, de stockage, de conservation et de distribution du grain.&nbsp;Vous avez signé deux conventions de partenariat avec LCA // Solutions +. En quoi consistent-elles et pourquoi sont-elles, selon vous, essentielles ?La premiére convention que nous avons signée avec LCA // Solutions + porte justement sur le développement et le déploiement de l’outil OptiVentil, qui s’intéresse au métier de la conservation du grain et plus précisément à la ventilation des silos.Son principe&nbsp;? Sur la base de données de consommation accessibles à tous, OptiVentil permet aux opérateurs de stockage de rapidement identifier d’éventuels problémes de consommation énergétique sur leur site, de les quantifier mais également de déterminer les premiéres solutions à déployer pour réduire la dépense énergétique de leur site de stockage.Dans le cadre de cette convention, nous apportons notre financement et notre accompagnement – par l’intermédiaire de points mensuels – au développement, à la commercialisation et à la valorisation de cet outil.La seconde convention est quant à elle la résultante du constat suivant&nbsp;: les coopératives agricoles font aujourd’hui face (et devront faire face) à un grand nombre d’évolutions – climatique, agronomique, économique, demande consommateurs.... Celles-ci vont naturellement avoir un impact, entre autres, sur leurs modes de fonctionnement, sur leurs métiers et par exemple peut impacter leurs schémas de collecte.Nous avons donc souhaité apporter notre support technique et financier à LCA // Solutions + pour qu’elle puisse proposer un cadre méthodologique et animer une réflexion au sein de coopératives candidates et des organismes stockeurs. L’enjeu&nbsp;? Les aider à construire une stratégie de développement qui leur permette de se préparer aux évolutions à venir à court et moyen terme et intégrant leur performance environnementale et leur compétitivité économique.&nbsp;Plus globalement, pouvez-vous nous donner votre point de vue sur le partenariat avec LCA // Solutions + ?Au sein de l’ADEME, nous avons à cœur d’accompagner, de financer et de faciliter les évolutions des pratiques agricoles, et de l’ensemble des acteurs de la filiére alimentaire. Pour ce faire, nous recherchons les acteurs les plus pertinents.Dans ce contexte, La Coopération Agricole et LCA // Solutions + sont évidemment deux partenaires incontournables&nbsp;: La Coopération Agricole par le nombre d’agriculteurs adhérents qu’elle représente et LCA // Solutions + par la réflexion concréte qu’elle permet mais aussi par la force de frappe opérationnelle qu’elle représente.Sensibiliser à la dépense énergétique, à la nécessaire réduction de l’impact des pratiques est une chose essentielle&nbsp;; mettre à disposition du plus grand nombre les outils opérationnels le permettant en est une autre.Mais travailler main dans la main avec des acteurs tels que LCA // Solutions&nbsp;+ permet de répondre simultanément à ces deux enjeux&nbsp;!

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En 2017, Jean-Sébastien Loyer a pris à 36 ans la direction générale de la SCAEL en Eure-et-Loir, soit douze ans aprés son entrée dans la coopération agricole à l’occasion d’un stage dans le cadre de son master en finances à l’ISEG. «&nbsp;Bien que fils d’agriculteur, je connaissais assez peu la coopération agricole et je ne me destinais pas à ce secteur. J’ai surtout été attiré par le sujet du stage proposé par la coopérative Interface Céréales (Eure-et-Loir)&nbsp;: les marchés à terme. C’était alors un sujet émergent. Je me suis même rendu aux États-Unis pour mieux comprendre&nbsp;» explique-t-il. Au cours de ce stage, il apprécie aussi les relations humaines au sein de la coopérative et notamment avec son directeur. Tout est réuni pour lui donner envie de débuter sa vie professionnelle dans cette coopérative, avec pour perspective à trés court terme de succéder au directeur commercialisation. À ce poste, il aura l’occasion de découvrir plusieurs facettes du métier puisqu’il occupera aussi en paralléle le poste de responsable de la commercialisation de l’Union Terris et l’animation du silo portuaire de Simarex, filiale de la coopérative.Mieux cerner les enjeuxAu cours de cette période, il se voit proposer par son directeur d’intégrer la promotion 2008-2009 d’AgroManager. « Il avait lui-même effectué ce parcours de formation et il lui semblait pertinent que je la suive à mon tour pour pouvoir évoluer dans la coopération&nbsp;» se rappelle-t-il «&nbsp;AgroManager m’a effectivement permis de mieux comprendre les rouages de la gouvernance des coopératives, de mieux appréhender les décisions stratégiques et financiéres. J’ai aussi apprécié approfondir mes connaissances en marketing. Ce fut une vraie montée en compétence&nbsp;». Au cours de cette formation, Jean-Sébastien Loyer apprécie également de découvrir toute la palette de la coopération. «&nbsp;On s’ouvre à d’autres secteurs de production, d’autres fonctionnements, d’autres organisations et cela permet de prendre du recul, de questionner nos habitudes&nbsp;» poursuit-il.Au moment où Interface Céréales quitte l’Union Terris, Jean-Sébastien Loyer reste à la direction de cette union puis en 2016 rejoint le groupe SCAEL en tant que directeur du pôle agricole. Un an plus tard, il succéde à Cédric Burg à la direction générale.S’ouvrir à d’autres approchesAprés deux ans à ce poste, il se voit proposer cette fois le parcours Aristée. À nouveau, il apprécie l’ouverture offerte par cette formation. «&nbsp;La rencontre, en particulier avec d’autres dirigeants qui ont eux-mêmes mis en œuvre des changements stratégiques, est trés enrichissante. Dans le contexte de ce parcours, nos échanges sont approfondis et on découvre d’autres approches. À ce moment-là j’avais plus d’attentes autour des enjeux du management&nbsp;», explique ce jeune dirigeant. «&nbsp;Aristée, c’est aussi un carnet d’adresse. Les intervenants allient connaissances théoriques et expérience de terrain. J’ai d’ailleurs eu l’occasion de faire appel aux compétences de deux d’entre eux par la suite&nbsp;».Jean-Sébastien Loyer n’a peut-être qu’un seul regret&nbsp;: ne pas l’avoir suivi en amont de sa prise de fonction à la direction générale pour y être mieux préparé&nbsp;!

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Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vous et sur votre parcours ?<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/photo_IJ_e1642021017264_7e01cba58d.jpeg" alt="photo-IJ-e1642021017264.jpeg" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_photo_IJ_e1642021017264_7e01cba58d.jpeg 135w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_photo_IJ_e1642021017264_7e01cba58d.jpeg 431w," sizes="100vw">Je suis juriste en&nbsp;droit social de formation et Directrice des Ressources Humaines depuis 20 ans.J’ai toujours évolué dans la coopération agricole : tout d’abord au sein du groupe SODIAAL et ensuite, depuis Décembre 2005, au sein de la coopérative CAVAC où j’ai pris la fonction de DRH en remplacement de Jacques Bourgeais qui lui-même a évolué à la Direction Générale du Groupe.&nbsp;Depuis quand travaillez-vous avec LCA // Solutions + et comment qualifieriez-vous ce partenariat ?Nous avons toujours travaillé avec LCA // Solutions +. On peut dire que c’est un partenariat de longue date ! Celui-ci se construit autour de nombreux sujets – Sénéque, Pales, formations techniques – et trés réguliérement autour du parcours Aristée : nous formons d’ailleurs encore cette année 4 cadres au sein de ce parcours.&nbsp;En 2021, vous avez lancé une premiére promotion du parcours Agro TC au sein de la CAVAC. Pourquoi précisément avoir fait le choix du parcours Agro TC proposé par LCA // Solutions + ?La réforme de la séparation vente et conseil associée à la réflexion stratégique engagée avec notre Conseil d’Administration nous ont naturellement amené à repenser l’organisation terrain au sein de la CAVAC.Nous sommes partis d’un constat majeur&nbsp;: le monde agricole est en constante évolution, les attentes de nos agriculteurs et des consommateurs évoluent, et cela, bien au-delà de la problématique de séparation vente et conseil. Or, au sein de notre coopérative, nous avions la même «&nbsp;organisation&nbsp;» terrain et à peu de chose prés, la même définition de missions de nos technico- commerciaux depuis plus de 20 ans. Il devenait donc indispensable et prioritaire de retravailler cet aspect.Accompagnés d’un consultant externe, une premiére étape s’est concentrée sur la réalisation d’une enquête auprés de nos équipes terrain, enquête portant sur les priorités et les axes stratégiques identifiés par le Conseil d’Administration. En sont ressortis des besoins importants en formation sur les 4 missions principales du conseiller technico-commercial&nbsp;: montée en compétence en agronomie, en gestion technico-économique de l’exploitation, en technique commerciale et en outils digitaux.Le parcours exclusif Agro TC développé par LCA // Solutions + nous a semblé répondre de façon tout à fait pertinente à ce besoin global de montée en compétences. En outre, nous souhaitions déployer «&nbsp;vite&nbsp;» notre démarche et la mise en œuvre de formations&nbsp;: un parcours de ce type répondait donc pleinement à ce que nous recherchions.&nbsp;Selon vous, quels sont les principaux points positifs du parcours Agro TC ?Dés les premiers modules, nous avons eu l’opportunité de travailler main dans la main avec les équipes : nous avions déjà avancé sur certains thémes – avec des outils comme le bilan d’exploitation notamment – et il nous semblait important que les intervenants du parcours utilisent nos supports et s’approprient nos thématiques. C’est selon moi un point particuliérement positif du parcours Agro TC : cette capacité à intégrer les besoins spécifiques de la coopérative et à s’appuyer sur ce que nous connaissons et utilisons au quotidien.Cerise sur le gâteau&nbsp;: la dimension certifiante.&nbsp; Agro TC est un parcours trés engageant&nbsp;: il faut pouvoir mobiliser beaucoup de jours de formation sur une période courte. Sa valorisation par l’intermédiaire d’une certification constitue par conséquent un aspect trés motivant auprés de nos équipes.Les retours sont d’ailleurs positifs&nbsp;: les premiers modules ont été trés appréciés. Nous avons notamment eu le plaisir d’être à nouveau accompagnés par le cabinet Arnage qui avait déjà travaillé avec les équipes sur notre nouvelle organisation terrain.&nbsp;Et la suite ?La poursuite d’Agro TC avec, trés bientôt, un module dédié à l’agronomie. Nos conseillers technico-commerciaux n’ont pas tous les mêmes acquis en la matiére, c’est donc un moment du parcours trés attendu.Par ailleurs, nous devrons certainement compléter ce module par des formations encore plus techniques. Certains de nos conseillers ont en effet accepté des missions de relais d’expertise et vont par conséquent devoir être encore plus pointus dans certains domaines agronomiques.&nbsp;3 mots pour la fin : si vous deviez définir le parcours Agro TC en 3 mots ?Tout d’abord parcours parce que c’est exactement ce que nous recherchions : engager nos salariés dans une démarche de montée en compétences qui devait nécessairement s’inscrire dans un format parcours.Ensuite, je dirais sur-mesure : Agro TC correspond pleinement à notre besoin spécifique de formation et les modules s’enchaînent comme nous le souhaitions.Et enfin, réactivité. Nous avons dû modifier des dates pour des contraintes d’organisation, revenir sur certains contenus, boucler l’ensemble du parcours en un temps réduit : à chaque fois, nous avons pu compter sur l’adaptabilité des formateurs et l’accompagnement sur-mesure de LCA // Solutions +, par l’intermédiaire d’Emmanuel Paris en particulier.&nbsp;Pour en savoir plus sur le parcours Agro TC, vous pouvez contacter directement Emmanuel Paris :&nbsp;<a href="mailto:eparis@solutionsplus.coop">eparis@solutionsplus.coop</a>

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Vous voilà certifié du parcours Sénéque. Félicitations ! Alors, quelles sont vos impressions ?Une grande fierté, tout d’abord. Fierté personnelle naturellement d’obtenir cette reconnaissance mais également vis à vis de mes collégues administrateurs et collaborateurs : il me paraissait important, à leur égard et en tant que Président, d’obtenir cette certification.Mais cette fierté s’accompagne aussi d’une pointe de tristesse. C’est la fin d’une aventure humaine : avec la promotion bien-sûr – le groupe a vraiment bien vécu ensemble – mais aussi avec tous les intervenants. On appréciait se retrouver et on a beaucoup appris. Sénéque, c’était une parenthése attendue, une véritable bouffée d’air dans nos quotidiens respectifs.&nbsp;La fin du parcours, c’est forcément l’occasion de faire le bilan. Selon vous, qu’est-ce-que Sénéque a changé en vous ?Alors, pour être honnête, je suis toujours le même... mais, plus sérieusement, le parcours m’a enrichi de 3 façons bien distinctes : il m’a rassuré sur certaines actions que je réalisais déjà mais sur lesquelles j’avais besoin d’être conforté; il m’a ensuite permis de me mettre en alerte sur certains aspects incontournables de mon activité et, chose essentielle, il m’a forgé dans ma capacité à être Président en m’apportant les réponses et l’assurance que cette fonction nécessite.Mais au-delà de ces 3 aspects, je suis convaincu que Sénéque nous a permis à tous de repartir avec un enseignement essentiel : toujours rester soi-même. Nos parcours respectifs ne sont pas le fruit du hasard mais ils ont tous été possible parce que nous sommes restés fidéles à nos valeurs personnelles. Et ces valeurs, associées aux enseignements du parcours, nous permettent d’aller encore plus loin et d’affirmer aujourd’hui avec fierté : « Je suis comme ça ! »&nbsp;Votre meilleur souvenir de Sénéque ?Sans hésitation : le voyage à Bruxelles au coeur des institutions européennes. Un moment trés fort fait d’échanges particuliérement privilégiés. Il représente pour moi un vrai concentré de ce qu’est Sénéque : des enseignements et des intervenants de qualité, une aventure humaine trés forte et enfin une réelle projection de nos fonctions et de nos activités dans les problématiques à venir.Ce voyage, c’était une trés belle façon de clôturer le programme.Aprés, c’est toujours difficile de résumer ce type de parcours à un seul souvenir. A titre d’exemple, les interventions d’Alessandro Biscaccianti – consultant en management – et de Bruno Roche – consultant formateur et coach de dirigeants – m’ont également beaucoup marqué et leurs rencontres ont constitué des moments charniéres dans mon aventure Sénéque.&nbsp;&nbsp;C’est quoi les perspectives pour la suite ?Je souhaiterais m’impliquer encore plus dans mon conseil d’administration mais aussi dans les instances parisiennes. Cela me paraît essentiel. Avec Sénéque et l’organisation qu’un tel parcours implique, j’ai réalisé que je pouvais dégager du temps. Je souhaite conserver cette dynamique pour représenter ma structure au sein de La Coopération Agricole : il faut qu’on lance des projets en échangeant avec les autres, il faut qu’on rayonne et pour cela il faut aller au-delà de notre structure.Et puis l’aventure Sénéque n’est pas finie. Nous avons un référent de promotion pour animer le groupe et se rencontrer réguliérement. Une chose est sûre : on va se revoir !&nbsp;Des conseils pour un futur Sénéque qui hésiterait encore à rejoindre le parcours ?Fonce ! Une chose est sûre : c’est du temps et de l’organisation. Mais tu en ressortiras heureux et grandi : il y a beaucoup de choses à y apprendre, de nombreux enseignements à en tirer et du réseau à se créer et cette notion de réseau est essentielle : le relationnel, l’échange, c’est l’ADN des coopératives. Il convient de maintenir cet ADN correctement.Et je finirai par une chose : on intervient aujourd’hui dans des coopératives qui ont tendance à grandir et qui sont confrontées à des problématiques majeures. Si on souhaite continuer à former un binôme efficace et pertinent avec nos Directeurs Généraux, il est nécessaire de monter en compétences pour pouvoir répondre à ces enjeux et c’est tout l’objectif du parcours Sénéque.

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Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vous&nbsp;et sur votre parcours ?Je suis Céline CARLU. J’ai une licence en management avec option RH.En 2005, j’effectue un stage au sein du service RH de la coopérative agricole EMC2 et je suis embauchée par la suite pour m’occuper de la formation et de l’audit interne.En 2012, pour suivre mon époux sur la région de Nancy, je quitte EMC2 et j’intégre le service RH de la Coopérative Agricole Lorraine (CAL). J’y suis en charge de l’agroéquipement (l’activité machinisme de la CAL ainsi que ses filiales machinisme). Mes missions&nbsp;? Paie et déclarations, accueil des nouveaux embauchés, suivi administratif RH des salariés et formation pour l’ensemble du groupe.&nbsp;Depuis quand travaillez-vous avec LCA // Solutions&nbsp;+ et comment qualifieriez-vous ce partenariat ?&nbsp;J’ai commencé à travailler en 2005 avec Services Coop de France (ndlr&nbsp;: Services Coop de France est devenu LCA // Solutions + en 2019) quand je travaillais chez EMC2 et c’est un partenariat qui se poursuit aujourd’hui dans le cadre de mes fonctions au sein de la CAL.A titre d’exemple&nbsp;: pour la premiére fois cette année, nous avons déployé au sein de nos équipes le CQP Agent de Silo avec l’accompagnement de Bénédicte Cardiet.C’est un partenariat trés agréable&nbsp;: les interlocuteurs de LCA// Solutions + sont trés réactifs et les échanges particuliérement constructifs. Je ne reste jamais sans réponse et c’est trés appréciable.&nbsp;Vous avez eu l’occasion récemment de tester notre outil de réalité virtuelle, dédié aux formations sur les risques en silo. Pouvez-vous partager avec nous votre retour d’expérience ?C’était une super expérience&nbsp;: &nbsp;saisissante et trés réelle.Lors du test, j’ai dû ouvrir une trappe de cellule afin de m’assurer si celle-ci était propre ou non. Je n’avais auparavant jamais vu une cellule d’en haut, et honnêtement c’est trés impressionnant&nbsp;! J’ai vraiment pu appréhender la profondeur de la cellule et j’ai même ressenti une pointe de vertige. Cela paraît tellement réel que l’expérience en est surprenante.Précision non négligeable&nbsp;: je n’ai jamais eu de jeu vidéo et malgré cela j’ai été rapidement trés à l’aise avec la prise en main des manettes et je me suis trés vite prise au jeu.&nbsp;Au regard de cette expérience, quels sont selon vous les avantages d’une telle technologie intégrée à une formation dédiée aux risques en silo&nbsp;?Ils sont nombreux.Parmi eux, l’aspect ludique de l’expérience. Selon moi, cela permet aux gens de terrain d’aborder la formation d’une autre maniére&nbsp;: moins théorique et plus orientée pratique. &nbsp;Grâce à l’outil de réalité virtuelle, chacun peut pratiquer.Ensuite, son côté trés réaliste permet, en toute sécurité – la formation ainsi menée est réalisée sans risque et sans mise en danger du salarié – de confronter les apprenants à des situations extrêmes qui peuvent malheureusement arriver. La réalité virtuelle a l’avantage de proposer une expérience plus marquante qu’un simple écrit&nbsp;: en formation traditionnelle on reçoit des informations, ici on reçoit des sensations. L’impact est plus fort.Enfin, grâce à l’outil, les participants peuvent également découvrir et donc mieux anticiper des risques auxquels ils n’ont pas eux-mêmes été confrontés, et auxquels on ne les confronte pas réellement en formation traditionnelle.Nous envisageons sérieusement l’achat de cette formation (casque de réalité virtuelle + module)&nbsp;: &nbsp;nous pourrons ainsi réaliser plus réguliérement des rappels sur les risques et maintenir les bonnes pratiques sur le long terme.&nbsp;Vous souhaitez en savoir plus sur notre nouvelle formation «&nbsp;Les risques en silo en réalité virtuelle&nbsp;» ? C’est&nbsp;<a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/les-risques-en-silo-en-realite-virtuelle/">ici</a>

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Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vous et sur votre parcours ?Originaire de la nouvelle Aquitaine, j’ai 47 ans et j’occupe le poste de DRH dans le Groupe Océalia. Titulaire d’un DEA de Philosophie, j’ai souhaité évoluer vers une dimension plus pratique en m’ouvrant au monde de l’entreprise. J’ai alors passé un DESS en Administration des entreprises à l’IAE de Poitiers. Au cœur de ce cursus, c’est la partie RH qui a su faire la jonction entre ces 2 orientations. Je me suis ensuite spécialisée en réalisant un Master en Management des Ressources Humaines, toujours à l’IAE. La curiosité, l’envie d’apprendre et le besoin de m’investir ont toujours été les principaux moteurs à mon évolution. Cela fait désormais 17 ans que j’évolue au sein du monde de la coopération agricole – toujours dans les RH.Depuis quand travaillez-vous avec LCA // Solutions + et comment qualifieriez-vous ce partenariat ?Nous travaillons depuis de nombreuses années avec LCA //Solutions+. C’est simple : j’ai parfois l’impression que cela a toujours été le cas ! Ils développent et proposent des formations adaptées à nos activités et à nos problématiques et nous aide à les déployer rapidement grâce à un accompagnement personnalisé. C’est un partenaire qui facilite énormément nos démarches.Pourquoi la coopérative Océalia cherche-t-elle à digitaliser ses pratiques en matiére de formation ? Et pourquoi avoir fait le choix de la COOP Academy ?Réduction des déplacements chronophages et coûteux, adaptation des solutions aux contraintes des collaborateurs, accés privilégié et instantané à des contenus techniques sont autant de raisons qui nous ont fait considérer la digitalisation d’une partie de la formation comme une évidence, et ce, avant même la crise de la COVID. La COOP Academy, et les nombreux e-learnings qu’elle propose, nous a permis de lancer cette démarche de façon plus globale.Selon vous, quels sont les principaux atouts de la COOP Academy?En premier lieu, je dirais l’accompagnement de Myléne Champain qui nous permet d’inscrire ces nouvelles modalités de formation dans nos pratiques : ses conseils et son appui nous sont trés précieux. Ensuite, l’offre de formation en elle-même qui est personnalisable et qui continue de s’élargir tant sur les métiers que sur les fonctions support. Formation des saisonniers, transport des matiéres dangereuses, management, qualité ... nous y trouvons un grand nombre de formations trés pertinentes. Et dernier point, mais non des moindres : la facilité avec laquelle nos apprenants accédent à la plateforme et suivent leurs formations. Leurs retours sont positifs voire trés positifs !En quoi la solution proposée par la COOP Academy s’inscrit-elle dans votre politique de formation ?Dans un contexte où le monde agricole se transforme, la formation est un des piliers sur lesquels il est essentiel de s’appuyer pour préparer l’avenir. C’est un formidable levier pour s’adapter et progresser tant collectivement qu’individuellement.Prenons l’exemple de l’intégration de nos nouveaux salariés. L’esprit d’appartenance est une des valeurs fortes de notre groupe : nous avons donc développé, en nous basant sur une formation de la COOP Academy que nous avons personnalisée, une formation d’intégration spécifique. L’apprenant y découvre le monde coopératif et celui d’Océalia à travers son histoire, ses activités, sa gouvernance... C’est un trés bon outil qui vient compléter le parcours d’intégration.Autre exemple : chaque année, plus de 400 saisonniers viennent nous rejoindre et il est indispensable de les former. Là encore, nous avons personnalisé les modules de la COOP Academy en les complétant avec des vidéos ou des documents qui nous sont propres.Et la suite ?Même si nous ne prévoyons pas de dématérialiser toutes nos formations, nous comptons poursuivre le déploiement du e-learning en 2022. Ces nouvelles modalités de formation ont désormais toute leur place dans notre organisation : gain de temps, facilité de mise en place et de suivi, formations adaptées à nos métiers, pas de frais annexes ... il serait dommage de s’en passer !3 mots pour la fin... et si vous deviez décrire la COOP Academy en 3 mots ?Adaptée (et adaptable), facile et riche en formations&nbsp;Vous souhaitez en savoir plus sur la COOP Academy ? C’est <a href="https://www.solutionsplus.coop/formations/formations-en-ligne/">ici</a>

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Le bilan GES, c’est quoi ?Le bilan GES est une évaluation de la quantité de gaz à effet de serre émise dans l’atmosphére sur une année par les activités d’une organisation ou d’un territoire.Les émissions de l’entité sont classées selon des catégories prédéfinies appelées «&nbsp;postes&nbsp;». Ce classement permet une identification rapide des postes où la contrainte carbone est la plus forte.Pour réduire ses émissions, c’est donc sur ceux-ci que doivent se concentrer les stratégies énergétiques et environnementales de l’entité réalisant son bilan.&nbsp;Le bilan GES : un outil simplifié, des enjeux multiplesLa réalisation d’un bilan GES participe d’une démarche souvent plus globale de développement durable engagé par une entité.Il constitue une parfaite photographie de l’existant mais propose également un véritable plan d’actions correctives, ce qui en fait un outil particuliérement opérationnel. En définissant les priorités d’actions, il permet un engagement concret et progressif dans une politique de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Les enjeux auxquels il répond sont multiples. Parmi eux, on retiendra :<ul><li>La structuration de la politique environnementale d’une entité,</li><li>L’identification des actions prioritaires permettant de réduire la facture énergétique et l’impact global</li><li>L’évaluation de la dépendance aux énergies fossiles</li><li>La réponse à la réglementation (si assujettissement)</li><li>...</li></ul>&nbsp;De la sensibilisation au plan d’actions : les étapes incontournables d’un bilan GESAlors, un bilan GES, comment ça marche ?On retiendra 3 étapes incontournables pour en assurer le succés.Cadrer et sensibiliser pour assurer la réussite du projet...La premiére étape se concentre sur le cadrage – objectifs et périmétre de l’étude – et la nécessaire implication, par l’intermédiaire d’une réunion d’ouverture, des différents acteurs.Au programme : présentation de la démarche, sensibilisation aux différents enjeux climatiques et énergétiques et présentation de la méthodologie déployée.Recenser pour mieux comprendre...La deuxiéme étape est celle de la collecte et de l’exploitation des données, éléments essentiels à l’analyse qui permettra d’aboutir à un vrai&nbsp; plan d’actions.Au programme : recensement des données d’activité, état des lieux des émissions par poste mais aussi identification des bonnes pratiques déjà mises en oeuvre en matiére de réduction des émissions.Véritable enquête sur l’existant, cette étape centrale implique naturellement de nombreux échanges et entretiens avec les équipes impliquées.Synthétiser pour passer à l’action...Derniére étape : la synthése des éléments collectés lors de l’étape n°2 et l’élaboration d’un plan d’actions associé.Au programme : synthése et hiérarchisation des résultats, identification des pistes d’amélioration et co-construction du plan d’actions.A l’issue de cette étape, la mise en place d’un outil de suivi dans le temps des émissions de GES permettra un contrôle régulier de la prise en compte et de la bonne mise en oeuvre des actions conseillées.&nbsp;Acteur du succés... de vos réductions d’émissionsDésireux de vous accompagner au mieux dans vos problématiques de transitions, nous avons déployé au sein de l’équipe Performance Industrielle de LCA // Solutions +, une solution clé en main pour vous aider à réaliser et à déployer votre bilan GES.Notre promesse : vous accompagner dans l’analyse et la mise en oeuvre concréte de votre démarche de réduction de votre empreinte carbone.&nbsp;Et si on en parlait ?Contactez directement Kristell Rouge – krouge@solutionsplus.coop

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Le monde de la coopération, Cécile Anduru l’a découvert en 2013 alors qu’on lui confie une formation sur le marché des coopératives. Jusque là elle ignorait totalement son existence. Elle est alors chef de projet éditorial pour le groupe les Échos et organise de nombreuses formations pour les cadres dirigeants des grandes entreprises françaises, dont celles du CAC&nbsp;40, sur un large panel de secteurs économiques. Diplômée de l’Ecole supérieure de commerce de Rennes (ESC) et d’un master en administration à l’ITESM(1) au Mexique, elle développe un réseau d’experts.Innover et anticiperGrâce à cette formation, elle est repérée par la Coopération agricole et recrutée dés 2014 pour étoffer l’offre de formations et de conférences au sein de l’équipe de Solutions+. «&nbsp;J’ai été emballée par le projet et la volonté d’innover, de proposer de nouveaux sujets. J’arrivais avec une vision large des thématiques possibles grâce à mon expérience et j’aime anticiper les sujets porteurs. J’étais également contente de me spécialiser pour mieux m’imprégner des projets et retrouver ainsi plus de sens&nbsp;», se souvient-elle.Cultiver l’ouvertureAssez vite, elle prend la responsabilité des parcours dirigeants proposés en partenariat avec l’Essec&nbsp;: Aristée à destination des dirigeants salariés et Sénéque à destination des présidents ou membres des conseils d’administration des coopératives. «&nbsp;J’apprécie cette complémentarité entre les compétences académiques de l’Essec et notre connaissance du terrain pour monter des formations bien adaptées aux professionnels&nbsp;», souligne-t-elle. La posture d’ouverture et d’objectivité de ces formations lui convient également parfaitement.Un public motivantDepuis un an, Cécile Anduru se consacre plus particuliérement aux formations à destination des élus de coopératives. En plus de Sénéque, elle développe les formats courts sur mesure pour les administrateurs (Palés) et les jeunes coopérateurs (Cybéle). «&nbsp;Je me sens encore plus utile auprés de ce public qui ne manque pas de bonnes idées et de bon sens mais qui a besoin d’un «&nbsp;savoir-faire outils&nbsp;» pour construire une feuille de route pour leur coopérative et d’un «&nbsp;savoir-être&nbsp;» pour parvenir à la partager au sein de leur structure et vers l’extérieur&nbsp;», constate la conseillére formation soulignant la capacité des participants à s’emparer de la méthodologie proposée. Mais elle a également conscience d’être en face d’un public exigeant pour qui venir en formation n’est pas toujours facile et qui attend en retour un contenu utile et concret. C’est aussi un challenge pédagogique pour proposer des formats dynamiques et interactifs à ces stagiaires plutôt habitués à l’action. Une bonne occasion pour Cécile Anduru de mettre en œuvre sa créativité&nbsp;!Chacun son tourEnfin Cécile Anduru anime avec plaisir la communauté des alumni. «&nbsp;J’apprécie de cultiver les réseaux que ce soit celui des anciens stagiaires, ou celui des experts et des intervenants&nbsp;», confirme la jeune femme qui s’apprête à élargir encore son horizon dés l’année prochaine en suivant un Master sur le management de la formation à Dauphine. Ce sera à son tour de prendre le temps de se former et de prendre du recul sur sa pratique&nbsp;!<ul><li>ITESM&nbsp;: Instituto Tecnológico y de Estudios Superiores de Monterrey</li></ul>

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Favoriser le partage d’expérience pour alimenter les pratiquesDynamique&nbsp;: voilà le premier mot de Corinne pour définir la formation «&nbsp;Accueil et vente en magasin agricole&nbsp;». Selon elle, la conséquence directe d’un programme particuliérement adapté et d’une pédagogie trés pertinente au regard du public cible&nbsp;: «&nbsp;On vise le personnel de silo, des personnes qui ont l’habitude de beaucoup bouger et qui ne sont pas forcément habituées à être en salle. Les nombreuses mises en situation proposées durant ces 2 jours permettent d’être constamment en action. Les stagiaires ont également apprécié qu’on leur donne la parole et qu’on favorise les partages d’expérience ». Ce partage d’expérience, Corinne le juge essentiel et attendu par les participants&nbsp;: «&nbsp;C’est un vrai point fort de cette formation&nbsp;: on est plutôt sur du personnel isolé. Ces 2 jours leur permettent de voir les taches des uns et des autres, les plus jeunes pouvant s’alimenter des plus anciens sur leurs pratiques ».L’équation idéale : le bon contenu et le bon formateurAutre point fort de la formation : l’accessibilité du format et de l’enseignement qui reposent selon Corinne sur la qualité et le professionnalisme de l’intervenant, Christophe Donadieu : «&nbsp;C’est quelqu’un qui donne envie&nbsp;: il est trés dynamique&nbsp;». Associé à un contenu riche et à des formats variés (vidéos, mises en situation...), son accompagnement constitue un atout indéniable&nbsp;: «&nbsp;Ce sont ses maniéres de faire qui ont permis l’adhésion de tous à la formation. Et c’était essentiel si l’on prend en considération que la vente est le cœur de leur métier&nbsp;»&nbsp;Un cran plus loin dans l’approche clientQuestionner les adhérents pour mieux comprendre leurs besoins&nbsp;; creuser la demande initiale pour encore mieux satisfaire le client...&nbsp;autant de mises en pratiques immédiates que les stagiaires ont pu faire remonter à Corinne à l’issue de ces deux journées. Une belle preuve du caractére trés opérationnel de la formation «&nbsp;Accueil et Vente en magasin Agricole&nbsp;». Et une opportunité, selon elle, d’aller un cran plus loin dans la professionnalisation de l’approche client&nbsp;: «&nbsp;La formation met aussi l’accent sur l’importance de l’écoute, donc sur l’amélioration de l’approche téléphonique et de l’accueil, sur l’importance de bien poser toutes les questions mais aussi sur la gestion des éventuelles objections de maniére positive&nbsp;»&nbsp;Vous souhaitez en savoir plus sur la formation &nbsp;«&nbsp;Accueil et vente en magasin agricole&nbsp;»&nbsp;? C’est <a href="https://www.solutionsplus.coop/formation/animer-vendre-magasin-agricole/">ici</a>

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Organisé tous les trimestres, le Club des Responsables Formation des coopératives agricoles constitue l’un de ces rendez-vous incontournables ! Zoom sur ce moment privilégié de partage avec Emmanuel Paris, conseiller formation au sein de LCA // Solutions&nbsp;+&nbsp;Plus qu’une rencontre trimestrielle, une occasion unique d’échanger et de partager sur les problématiques&nbsp;formation&nbsp;: voilà l’objectif que s’est donné LCA // Solutions + en lançant, il y a quelques années, le Club des Responsables Formation des coopératives agricoles. Sa bascule en format visioconférence n’a fait qu’augmenter le succés de ce moment privilégié, devenu incontournable pour nombre de ses participants&nbsp;: «&nbsp;Le distanciel nous permet de le rendre plus accessible et de réunir plus de monde. En effet nous sommes désormais autour des 40 participants par session&nbsp;» explique Emmanuel Paris.&nbsp;Un contenu sur mesureScindé en deux grandes parties, le Club des Responsables Formation des coopératives agricoles débute systématiquement avec un point sur l’actualité de la formation professionnelle à destination des coopératives agricoles, «&nbsp;l’occasion d’aborder des sujets spécifiques qu’on ne trouve pas ailleurs car il y a en permanence des choses qui évoluent dans ce secteur. Par exemple lors du Club de juin dernier, nous avons abordé le sujet de l’abondement OCAPIAT pour les entreprises de moins de 50 salariés&nbsp;» ajoute Emmanuel Paris. Dans un second temps, un intervenant extérieur prend la parole sur une thématique précise. «&nbsp;En juin, c’est&nbsp; l’entreprise Caraxo qui est intervenue sur les entretiens professionnels et en septembre dernier, nous avons organisé un bel échange entre&nbsp;Corinne Lelong, directrice des Affaires Sociales et de la Formation de&nbsp;La Coopération Agricole et Jonathan Emsellem, directeur général d’OCAPIAT, sur l’offre de services d’OCAPIAT et la façon dont l’organisme accompagne les entreprises dans le développement de l’emploi et des compétences des salariés&nbsp;».&nbsp;Un moment d’échange et une mise en réseauLe Club des Responsables Formation des coopératives agricoles est avant tout un rendez-vous pour délivrer de l’information et susciter des discussions entre les participants. «&nbsp;Le but à terme est de créer une communauté d’échange avec les responsables formation qui peuvent à un moment donné partager les mêmes problématiques. Ce club est donc l’occasion pour eux de communiquer mais aussi de se créer un réseau&nbsp;» souligne Emmanuel Paris.Rendez-vous à la prochaine session qui se tiendra le 18 novembre prochain.&nbsp;Vous voulez participer ou avoir plus d’informations&nbsp;? Contactez Emmanuel Paris&nbsp;: eparis@solutionsplus.coop

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La formation de ces profils constitue un enjeu majeur en termes de sécurité mais aussi de conservation du grain. C’est pourquoi chaque saisonnier au sein d’Euralis est formé, en amont de sa prise de fonction, grâce au parcours Accueil Sécurité (communément appelé pack saisonnier, ndlr) de la Coop Academy de LCA // Solutions+.L’e-learning pour répondre aux enjeux de la crise sanitaire«&nbsp;Jusqu’à présent, Euralis dispensait une journée sécurité à l’ensemble des candidats qui rentraient en saison sur tout type de poste. On leur expliquait notamment comment fonctionnent les silos. Avec le contexte sanitaire, il est devenu compliqué d’assurer ce type journée&nbsp;»&nbsp;nous explique Marie Edel.La situation sanitaire a naturellement orienté Euralis vers un nouveau format de formation&nbsp;: &nbsp;l’e-learning. L’enjeu&nbsp;? Délivrer les mêmes messages que lors de cette formation d’une journée mais d’une maniére plus pratique et à moindre frais.Le pack saisonniers de la Coop Academy&nbsp;: un outil devenu incontournable«&nbsp;Ce qui est intéressant pour nous ce sont les facilités que propose le format e-learning. &nbsp;Nous avons des candidats qui viennent de partout et il est souvent complexe de faire venir tous les saisonniers en même temps au même endroit. C’est quand même beaucoup mieux de le faire à distance et en plus chacun est libre de son rythme. C’est trés adapté au profil des saisonniers » tient-elle à souligner.Sur les apports et les intérêts du pack, Marie Edel précise&nbsp;: «&nbsp;Il y a déjà un aspect réglementaire et législatif non négligeable. Les saisonniers ont une formation à la sécurité, sur le fonctionnement des silos et sur les risques, ce qui est essentiel. Le pack leur permet également d’avoir une base d’informations commune. Auparavant, la formation se faisait directement sur les sites&nbsp;: &nbsp;certains le faisaient bien et d’autres moins. Maintenant on sait que chacun a reçu de façon harmonieuse la même information&nbsp;».Une évolution des pratiques de formation particuliérement efficace et qui tend à se généraliser au sein de la coopérative puisque prés de 150 personnes ont ainsi été formées l’an dernier.

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L’enjeu d’avenir&nbsp;: une offre toujours plus adaptée et modulable pour les coopérativesEn matiére de performance industrielle et afin d’accompagner les coopératives céréaliéres dans la gestion optimale de leur chaîne de collecte et du travail du grain, LCA//Solutions + poursuit le développement de la gamme logiciel des «&nbsp;opti&nbsp;».Les solutions proposées s’adaptent à la réalité et à la maturité de chaque coopérative&nbsp;: &nbsp;la gamme des «&nbsp;opti&nbsp;» constitue ainsi une réponse exclusive «&nbsp;à la carte&nbsp;» pour répondre aux situations particuliéres de chaque coopérative.S’agissant de l’offre en matiére de formation et à la suite de la crise sanitaire qui a bouleversé les pratiques, LCA // Solutions + a souhaité réaliser une enquête auprés de Responsables Formation des coopératives agricoles. L’objectif ? Mieux comprendre chaque problématique afin de mettre en œuvre la réponse stratégique et opérationnelle adaptée.Sur base de ce diagnostic, une feuille de route a été construite permettant à LCA // Solutions + de se positionner comme le partenaire des coopératives agricoles dans la montée en compétences de leurs collaborateurs.&nbsp;Une ambition réaffirmée&nbsp;: être acteur du succés des transitions des coopératives agricolesLa rentrée de septembre 2021 confirme pour LCA // Solutions + la dynamique engagée depuis plusieurs années et accélérée ces derniers mois en raison du contexte sanitaire.Plus que jamais l’enjeu réside dans la capacité à délivrer aux coopératives agricoles des solutions modulables et adaptées aux spécificités de chacune, tant sur les aspects formation que sur ceux de la performance industrielle.Dans ce contexte, la relation étroite qui unit LCA // Solutions + avec les coopératives agricoles est gage de succés. Un seul mot d’ordre pour les mois à venir&nbsp;: co-construire le futur et assurer la pérennité des transitions.

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La prévention du risque et la lutte contre le vieillissement des structures industrielles sont le fil rouge de la carriére de Mathieu Reimeringer, diplômé de l’École des Mines de Nancy et auteur d’une thése sur le risque d’effondrement aprés explosion. Pendant 15 ans, cet expert de la mécanique des structures a exercé au sein de l’Ineris, l’Institut national de l’environnement industriel et des risques.Depuis 2016, il met ses compétences au service du monde de la coopération avec une attention particuliére à la problématique du vieillissement des silos de stockage. «&nbsp;Aprés de nombreuses années passées à prévenir des risques industriels, bien réels mais dont la probabilité d’occurrence reste heureusement faible, j’apprécie d’accompagner les coopératives dans la recherche de solutions directement bénéfiques à l’exploitation au quotidien de leurs installations et à leur performance. Redonner des années de vie à des structures vieillissantes grâce à des opérations de maintenance bien ciblées est une réponse trés concréte et trés satisfaisante&nbsp;», explique cet ingénieur de 44 ans qui apprécie aussi de travailler dans ce climat de confiance entre Solutions+ et les coopératives.En rejoignant Solutions+, il est aussi devenu le pilote des drones qui scrutent depuis quelques années maintenant les fissures et autres désordres potentiels sur les silos. Titulaire du certificat théorique de télépilote, indispensable pour piloter un drone dans un cadre professionnel, Mathieu Reimeringer s’est rapidement familiarisé avec ces engins qui requiérent une veille technologique permanente pour disposer des appareils les plus adaptés par leur taille, leur autonomie et leur résolution à cet usage. «&nbsp;Les performances évoluent rapidement et je suis avec attention l’arrivée de nouvelles applications utiles aux coopératives&nbsp;», présente-t-il. D’ailleurs l’exploitation des images ainsi captées a déjà bien évolué ces derniers temps avec le passage à la 3D pour reconstituer les silos et permettre à l’exploitant de visualiser facilement les différentes pathologies.Plan de travaux et intelligence artificielleDans un contexte où les assureurs font pression pour un suivi plus régulier des bâtiments et où de nombreuses coopératives rationnalisent leur maillage territorial et souhaitent avoir une vision d’ensemble de l’état de leurs installations, ce consultant est trés sollicité ces derniers temps et sera bientôt secondé dans ses fonctions. Cette activité croissante l’a aussi amené à proposer l’idée d’une solution digitale pour aider les coopératives à établir un plan d’entretien de leur parc et à hiérarchiser leurs travaux. «&nbsp;Comme le premier confinement 2020 nous a libéré du temps pour passer de l’idée au projet, l’outil, baptisé Opti-structure, est désormais en cours de développement&nbsp;», annonce-t-il. Il intégrera une base de données de travaux où chaque action est chiffrée à la fois en termes de coût et de valeur apportée au silo. Grâce à l’intelligence artificielle, l’outil proposera les travaux les plus rentables en fonction du nombre d’années de vie gagnées par le silo. «&nbsp;Je suis là au cœur de ce que j’aime dans ce métier&nbsp;: développer de nouvelles solutions et m’emparer des évolutions de la technologie&nbsp;» conclut-il.

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Si à l’origine il consistait en une réunion annuelle en présentiel, le café des formateurs a rapidement changé de format&nbsp;: plus court, plus récurrent, à distance, une combinaison gagnante qui permet, en outre, d’accueillir un plus grand nombre de participants.Un rendez-vous trimestriel devenu incontournableRendez-vous est donc désormais pris tous les trois mois pour débriefer sur l’actualité formation mais aussi pour échanger sur des thématiques spécifiques. Pour exemple, l’année derniére, l’intervention d’un des formateurs sur la problématique «&nbsp;Comment digitaliser ses formations et les rendre digeste en distanciel&nbsp;?&nbsp;». Un moment d’échange particuliérement riche et un moyen privilégié de partager les bonnes pratiques. «&nbsp;L’objectif est vraiment de venir chercher toutes les nouveautés qui peuvent nous alimenter, nous, en tant que formateurs et qui peuvent agrémenter nos différents modules » nous confie Ludovic Chargelegue, intervenant extérieur pour LCA // Solutions +.Une démarche d’amélioration permanentePlus qu’un moment de partage et d’échange, le Café Visio représente pour lui une initiative incontournable dans une démarche d’amélioration permanente et d’accompagnement global. &nbsp;«&nbsp;En tant que formateur, on s’approprie les modules mais l’objectif principal reste qu’ils répondent aux demandes des stagiaires. Cette réunion est donc notamment l’occasion d’adapter nos modules en bénéficiant des retours de chacun&nbsp;» tient-il à souligner.Et au-delà de son caractére fédérateur et de la qualité des échanges qu’il favorise, le Café Visio permet également – de par les retours et les partages qu’il génére – de renforcer la qualité des différentes solutions déployées par LCA // Solutions + pour accompagner les coopératives agricoles.Prochain rendez-vous se tiendra le 2 juillet 2021 sur la thématique «&nbsp;Outils pédagogiques innovants&nbsp;».&nbsp;Pour plus de renseignements, contactez Julie LECOCQ&nbsp;: <a href="mailto:jlecocq@solutionsplus.coop">jlecocq@solutionsplus.coop</a>

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Arrivé initialement pour renforcer l’équipe d’un silo le temps d’un été, Lilian Dussuelle a désormais derriére lui un beau parcours opérationnel au sein de la coopérative NORIAP. Successivement responsable de silo, chef de centre spécialisé en expédition train complet puis responsable du pôle opérationnel travaux qu’il a lui-même organisé, il est depuis 2020 responsable technique métiers du grain. Un poste transversal et taillé sur mesure, essentiellement tendu vers un objectif&nbsp;: préparer la coopérative à répondre au cadre communautaire sur le stockage et à la demande sociétale en faveur de la conservation naturelle des grains, sans insecticides, tout en optimisant la performance économique.Entre terrain et formationLe défi est de taille mais Lilian Dussuelle a glané au fil de sa carriére des connaissances et observations qui lui permettent d’affirmer que cet objectif est à portée de budget même dans un contexte financier contraint. En paralléle de ses différents postes, il a toujours été à l’affut de challenges supplémentaires et a ainsi développé, en plus de sa connaissance terrain, des compétences dans le domaine de la certification qualité ou encore de la performance énergétique. Diplômé initialement d’un BTS, il a saisi toutes les opportunités pour se former au cours de sa carriére, de la mécanique des fluides jusqu’à l’entomologie.«&nbsp;J’ai ainsi petit à petit explorer toutes les techniques qui peuvent participer à pallier l’arrêt des insecticides. Chaque fois que j’ai été confronté à une problématique, j’ai voulu centrer mon action sur le métier du grain. Il est indispensable de monter en compétences et de retrouver des connaissances fondamentales souvent perdues en raison de la facilité offerte par la chimie&nbsp;» affirme ce responsable qui n’a pas sa langue dans sa poche.« Nous ne pouvons plus nous contenter de juxtaposer des solutions techniques et des équipements sans maîtriser véritablement ce qui se passe à l’intérieur du silo. Cela a pu nous conduire à des erreurs de conception. J’ai constaté que les différents prestataires externes ont souvent une approche segmentée et dialoguent peu entre eux. Il nous faut garder la maîtrise en interne même si les fournisseurs sont bien entendu des partenaires. Pour ma part, j’essaie de proposer un protocole global&nbsp;» avance-t-il.Optisilo, partie intégrante du plan d’actionDepuis qu’il occupe ce poste, Lilian Dussuelle a réalisé l’audit technique d’une cinquantaine d’installations de la coopérative, notamment sur l’état de la ventilation. Dans la foulée, il a présenté un plan d’action préalablement déployé sur quelques sites ciblés. Sur l’ensemble de ces sites pilotes, avec des budgets mobilisés trés variables, les trés bons résultats obtenus l’ont conforté sur l’efficacité et la faisabilité de cette approche globale.«&nbsp;Pour y parvenir, j’ai personnellement besoin de m’appuyer sur un réseau à l’échelle de la coopération agricole. Optisilo, l’outil développé par LCA // Solutions+, fait partie intégrante du plan d’action de notre coopérative&nbsp;» explique ce membre actif du comité de pilotage Optisilo «&nbsp;Relever le défi du «&nbsp;sans insecticides&nbsp;» n’a d’ailleurs de sens qu’à l’échelle de toute la filiére. Nous devons tous travailler dans la même direction pour renforcer l’image de l’origine française&nbsp;».&nbsp;Pour plus d’informations sur notre outil Optisilo, contactez David Salardaine : dsalardaine@solutionsplus.coop&nbsp;

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Les coopératives céréaliéres font actuellement face à 4 enjeux majeurs :<ul><li>Le changement climatique qui impacte les régions agricoles en entraînant des évolutions culturales, une limitation des rendements et une plus forte variabilité des récoltes</li><li>Le coût environnemental avec des procédés de collecte et de transformation du travail fortement carbonés</li><li>La performance économique avec des maillages denses adaptés au contexte des années 2000 et peu optimisés</li><li>Les attentes des consommateurs avec une segmentation importante de la demande et des exigences qualité de plus en plus fortes qui impliquent une multiplication des cahiers des charges</li></ul>Afin d’apporter une réponse pertinente et durable à l’ensemble de ces enjeux, les coopératives céréaliéres doivent impérativement repenser leurs dispositifs de collecte et leur chaîne d’approvisionnement en les rendant plus polyvalents et plus souples tout en y intégrant une haute performance environnementale.&nbsp;Assurer une réponse adaptée à chaque coopérative...&nbsp;Pour accompagner les coopératives dans cette problématique incontournable, il nous est apparu essentiel de développer une approche graduelle et modulable.Son principe ? S’adapter au contexte propre de chaque coopérative en mettant à leur disposition des solutions adaptées à leur réalité et à leur maturité.Ainsi, la gamme des «&nbsp;Opti&nbsp;» a été tout spécialement pensée pour déployer une réponse «&nbsp;à la carte&nbsp;» qui s’adapte aux situations spécifiques de chaque coopérative en matiére de gestion optimale de la chaîne de collecte et du travail du grain.&nbsp;Une démarche qui doit être globale pour s’inscrire dans la duréeChez LCA // Solutions +, nous pensons que pour proposer une réponse durable aux enjeux du secteur, il est essentiel d’aller au-delà des solutions opérationnelles de la gamme des «&nbsp;Opti&nbsp;».Notre conviction ? Il convient de créer une véritable dynamique de secteur grâce à un projet global et fédérateur – le projet « Silo 4.0 » – dont les missions vont au-delà d’une réponse opérationnelle ponctuelle :o&nbsp; Veille sectorielle – pour assurer un suivi des&nbsp; évolutions technologiques en cours et adapter les réponses envisagées,o&nbsp; Recherche de partenariats – pour disposer d’un éco-systéme technique/technologique dynamique sur le long terme,o&nbsp; Recherche de financements – pour disposer de leviers dans les développements en cours ou à venir,o&nbsp; Développement de nouvelles solutions adaptées aux coopératives&nbsp;Avec le projet «&nbsp;Silo 4.0&nbsp;», notre ambition est de créer un formidable tremplin à la structuration d’une réponse globale et pérenne à l’enjeu que représente la gestion de la chaîne de collecte et du travail du grain pour l’ensemble des coopératives céréaliéres.&nbsp;Vous voulez en savoir plus sur le projet «&nbsp;Silo 4.0&nbsp;» ? Contactez Florent Varin : fvarin@solutionsplus.coop&nbsp;Pour aller plus loin sur l’enjeu d’une réponse globale aux problématiques des coopératives céréaliéres : <a href="https://www.solutionsplus.coop/rencontre-la-conservation-naturelle-nest-pas-une-utopie/">Découvrir le témoignage de Lilian&nbsp;</a>

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Durant ce moment privilégié, les nouvelles techniques à base de toiles en fibres de carbone ou de béton à fibres métalliques ont particuliérement retenu l’attention. Nous vous informerons dés qu’elles feront preuve d’un avis technique sur des silos ce qui ouvrira la voie à de nouvelles options de réparation plus rapides et moins coûteuses.On se retrouve bientôt pour une nouvelle session du Club, le 22 septembre 2021.<a href="https://strapi-solutionsplus-homol.azurewebsites.net//uploads/14_H00_15_H30_club_structure_chemisage_et_rechemisage_des_silos_beton_b37bd7e2b8.mp4?updated_at=2023-03-20T14:53:54.109Z">https://strapi-solutionsplus-homol.azurewebsites.net/uploads/14_H00_15_H30_club_structure_chemisage_et_rechemisage_des_silos_beton_b37bd7e2b8.mp4?updated_at=2023-03-20T14:53:54.109Z</a>Pour plus d’informations, contactez Mathieu Reimeringer : mreimeringer@solutionsplus.coop&nbsp;

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OptiVentil est un outil logiciel qui vise à améliorer la performance de la conservation. Son objectif&nbsp;? Permettre une réduction de la consommation énergétique ainsi qu’une baisse de l’usage d’insecticides de stockage.Le caractére innovant de cet outil est qu’il permet aux organismes stockeurs de disposer d’une solution simple et immédiatement utilisable, sans nécessiter l’installation de matériel (capteurs, sous-compteurs) dans les silos, ni de saisies de la part des opérateurs. Ceux-ci disposeront en temps réel de l’état du pilotage de la ventilation sur l’ensemble de leur parc de silos et d’alertes pour pouvoir agir dés l’apparition de dérives de fonctionnement. Avec OptiVentil,LCA // Solutions + propose une solution adaptée qui se base uniquement sur les données de consommation électrique des silos et de Météo France (deux données accessibles sans instrumentation supplémentaire).&nbsp;Un outil pensé par et pour les coopérativesPour permettre à OptiVentil de devenir LA nouvelle référence en matiére de pilotage de la ventilation, les équipes de LCA // Solutions + ont privilégié une démarche de co-construction impliquant les coopératives dés la genése du projet.Un comité de pilotage constitué de coopératives utilisatrices, d’experts LCA // Solutions + et d’interlocuteurs spécialisés dans le développement de solutions logicielles (chef de projet informatique, spécialiste expérience utilisateur – UX...) s’assure de l’intégration, étape aprés étape, de l’ensemble des paramétres incontournables au déploiement optimal de cette nouvelle solution.&nbsp;Comment ça marche&nbsp;?En suivant les données de consommation des silos en temps réel et de la météo, un algorithme va identifier les périodes de ventilation et vérifier si elles sont efficaces compte tenu de la température extérieure.En cas de probléme, une alerte est générée afin de prévenir les personnes concernées. OptiVentil est également capable de déterminer si toutes les périodes de froid disponibles sont bien utilisées et si la ventilation est efficace, c’est-à-dire qu’elle est réalisée au meilleur moment (quand il fait suffisamment froid).&nbsp;En exclusivité, les premiers écrans d’OptiVentil...<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/capture_optisilo_2_a5780e94ed.png" alt="capture-optisilo-2.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_capture_optisilo_2_a5780e94ed.png 115w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_capture_optisilo_2_a5780e94ed.png 368w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_capture_optisilo_2_a5780e94ed.png 551w," sizes="100vw">La page « Site » qui permet d’aller voir le détail des données , indicateurs et alertes au niveau d’un site.<img src="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/capture_optisilo_d2ecc4162d.png" alt="capture-optisilo.png" srcset="https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/thumbnail_capture_optisilo_d2ecc4162d.png 216w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/small_capture_optisilo_d2ecc4162d.png 500w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/medium_capture_optisilo_d2ecc4162d.png 750w,https://sasolutionplusnoprod.blob.core.windows.net/strapi-media/assets/large_capture_optisilo_d2ecc4162d.png 1000w," sizes="100vw">Le tableau de bord qui permet d’avoir une vue d’ensemble de son parc de silos, des indicateurs globaux, et les alertes en cours.&nbsp;&nbsp;Pour plus d’informations sur notre démarche SIS et notre outil OptiVentil, contactez&nbsp;: <a href="mailto:dsalardaine@solutionsplus.coop">dsalardaine@solutionsplus.coop</a>

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Lieu n1&nbsp;: En intérieur de cellule&nbsp;d’un silo C’est un endroit sombre qui demande une grande attention et une grande dextérité dans la manipulation car il faut protéger le drone contre les chocs.* Exemple d’audit effectué&nbsp;: Pour&nbsp;la coopérative VALFRANCE, à l’intérieur d’un silo&nbsp;avec l’utilisation, pour l’occasion, d’un projecteur et de protections d’hélices.<figure class="image image_resized" style="width:50%;"><img src="/uploads/photo_drone_1_650x1126_cc45a76de8.jpeg" alt="photo-drone-1-650x1126.jpeg" srcset="/uploads/thumbnail_photo_drone_1_650x1126_cc45a76de8.jpeg 90w,/uploads/small_photo_drone_1_650x1126_cc45a76de8.jpeg 289w,/uploads/medium_photo_drone_1_650x1126_cc45a76de8.jpeg 433w,/uploads/large_photo_drone_1_650x1126_cc45a76de8.jpeg 577w," sizes="100vw"></figure>Lieu n2&nbsp;: En altitude d’un silo Allant parfois jusqu’à plus de 50 métres de hauteur, il n’est pas rare que nos drones aient à se hisser tout en haut d’un silo. Exemple d’un audit effectué&nbsp;: Chez INVIVO Grande Paroisse, LCA // Solutions + a dû effectuer un audit à plus de 60m de hauteur. Heureusement que les drones ne souffrent pas de vertige&nbsp;!<figure class="image image_resized" style="width:50%;"><img src="/uploads/silo_mathieu_haute_altitude_e1622462538169_365x260_48480b3ad3.jpeg" alt="silo-mathieu-haute-altitude-e1622462538169-365x260.jpeg" srcset="/uploads/thumbnail_silo_mathieu_haute_altitude_e1622462538169_365x260_48480b3ad3.jpeg 219w," sizes="100vw"></figure>Lieu n3&nbsp;: Entre deux silos Les parois extérieures des silos sont des endroits difficiles d’accés qui nécessitent une fois de plus une véritable dextérité pour pouvoir être correctement atteints. Exemple d’un audit effectué&nbsp;: Pour la coopérative NATUP, le but était de scanner des soudures de parois métalliques palplanche. Pour l’occasion, notre drone était équipé d’une cage de protection et est venu se caler sur une des parois pour scanner celle d’en face.<figure class="image image_resized" style="width:50%;"><img src="/uploads/Image1_650x488_6ffd706d05.jpeg" alt="Image1-650x488.jpeg" srcset="/uploads/thumbnail_Image1_650x488_6ffd706d05.jpeg 208w,/uploads/small_Image1_650x488_6ffd706d05.jpeg 500w," sizes="100vw"></figure>

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Membre de l’équipe formation de LCA // Solutions+ depuis mars 2020, Bénédicte Cardiet accompagne depuis prés de vingt ans des étudiants et des salariés pour les aider à trouver leur place dans le monde professionnel. Ses premiéres expériences professionnelles, comme chargée de recrutement au sein de sociétés de travail temporaire, l’ont trop souvent amenée à rencontrer des salariés tenus éloignés d’un emploi stable et qui leur plaise, faute de formation. « J’essayais à mon niveau de leur être utile en mettant en valeur leur parcours pour accéder à un travail qui leur donne envie de se lever le matin mais cela ne suffisait pas toujours&nbsp;» explique-t-elle.Au plus prés des réalités professionnellesLa jeune femme s’est alors naturellement intéressée à la formation professionnelle. En 2010, elle quitte le milieu de l’intérim et devient chargée de relations partenaires au CFA SUP 2000, l’un des leaders de la formation en apprentissage dans l’enseignement supérieur, qui forme chaque année plus de 4 000 apprentis. Elle-même diplômée par apprentissage, elle est en effet convaincue que cette voie permet aux jeunes d’approcher concrétement les réalités de leur futur métier et d’ajuster leur orientation pour au final s’épanouir dans leur travail. Ce poste lui permet de multiplier les rencontres, à la croisée des chemins entre enseignants-chercheurs et entreprises.Co-construction et partenariatDébut 2020, elle est recrutée par LCA // Solutions+. « J’ai eu envie de relever de nouveaux challenges, motivée par cette dynamique d’innovation continue et de co-construction au service des coopératives agricoles. J’étais également ravie d’enrichir mon expérience en découvrant ce secteur et ses métiers trés concrets. J’ai d’ailleurs trouvé un milieu trés humain qui gagne à être mieux connu et où je rencontre des personnes trés ouvertes. J’apprécie aussi de travailler dans une logique de partenariat&nbsp;» détaille Bénédicte Cardiet.Au service de la formationAprés quelques mois en binôme avec Cécile Anduru sur les formations Aristée et Sénéque, elle a depuis janvier pris la responsabilité des formations AgroManager et CQP agent de silo. Elle intervient à plusieurs moments de la vie d’une promotion : elle assure le recrutement des futurs stagiaires, puis elle veille à ce que chacun trouve son rythme en cours de formation et enfin, elle dresse le bilan avec eux. « Rencontrer les stagiaires aux différentes étapes de leur formation permet de voir le chemin parcouru. Ils prennent souvent confiance en eux. Une fois, l’un des nouveaux stagiaires du CQP agent de silo m’a expliqué qu’il était perçu comme le balayeur du silo. Je suis convaincue que l’obtention de son diplôme lui permettra de véhiculer une autre image de son métier. Entendre des témoignages d’anciens stagiaires, souvent devenus tuteurs, me conforte à mon tour dans mon métier au service de la formation des salariés&nbsp;!&nbsp;», conclut Bénédicte Cardiet.

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Un secteur en pleine mutationLa baisse de la valeur des productions, les changements climatiques, l’évolution du profil des agriculteurs, les nouvelles exigences du consommateur mais aussi l’accroissement des contraintes réglementaires, avec notamment la séparation conseil / vente, sont autant d’évolutions majeures qui impactent aujourd’hui le secteur agricole et agroalimentaire, et cela dans un contexte d’accélération des innovations et de la digitalisation des pratiques.Ces évolutions conduisent à une mutation des métiers, des profils et des compétences requises au sein des coopératives agricoles, avec un impact particuliérement marqué pour la fonction de technicien-commercial. En effet, celui-ci est au cœur de la relation qu’entretient la coopérative avec l’agriculteur et se trouve donc en premiére ligne pour proposer et accompagner l’évolution des pratiques agronomiques.&nbsp;Offrir des solutions globales...Dans ce contexte, le technicien commercial doit avoir une approche globale de l’exploitation agricole en passant d’une posture de vendeur de services à celle d’offreur de solutions globales, en intégrant les évolutions réglementaires et les nouveaux outils digitaux. Pour ce faire, les coopératives agricoles doivent veiller à faire évoluer les compétences de leurs techniciens commerciaux afin qu’ils soient en mesure de proposer aux agriculteurs adhérents un accompagnement efficient.&nbsp;Un parcours certifiant à la mesure des enjeux du secteurPour répondre à ces enjeux, LCA // Solutions+ propose désormais aux coopératives agricoles un parcours de formation certifiant à destination des techniciens commerciaux, avec pour objectif&nbsp;qu’ils aient la capacité de :<ul><li>Maîtriser les enjeux globaux et des évolutions réglementaires du secteur agricole et agroalimentaire</li><li>Construire une démarche commerciale efficace</li><li>Elaborer un diagnostic de performance globale de l’exploitation agricole</li><li>Proposer aux agriculteurs des méthodes alternatives et/ou innovantes</li></ul>Ce parcours, d’une durée de 8 jours, est organisé autour de 4 modules, dont la planification peut être adaptée en fonction des contraintes d’activité de la coopérative. Il comporte des séquences pédagogiques en présentiel et distantiel et s’appuie sur des outils digitaux proposant une pédagogie ludo-innovante favorisant la participation des stagiaires.&nbsp;Pour plus d’informations, contactez Emmanuel PARIS&nbsp;: <a href="mailto:eparis@solutionsplus.coop">eparis@solutionsplus.coop</a> &nbsp;

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